1. La cour des grands


    Datte: 23/04/2018, Catégories: fhh, couplus, hotel, cinéma, amour, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Hugo Frais, Source: Revebebe

    ... enfin sur pied pour me rejoindre, je prends justement congé de ma nouvelle copine. J’ai passé un très bon après-midi sans trop avoir à penser à ce qui nous attendait ce soir. Nous nous retrouvons tous les deux pour déjeuner en attendant l’arrivée de notre amant. Et là, c’est moi qui perds mes moyens. Aucun resto ne me convient, aucune table dans le resto, aucun plat dans la carte, nous sommes dans le courant d’air, je n’ai pas envie d’alcool…
    
    L’arrivée du troisième point du triangle n’arrange pas vraiment les choses. Mais les garçons sont détendus, plaisantent, font les coqs, finissent le plat auquel j’ai à peine touché, la bouteille censée nous désinhiber. L’ambiance me détend un peu. Nous sortons dans le froid de l’automne et optons pour un cocktail au bar de l’hôtel avant de monter. Je continue à me détendre. Est-ce que je désire ces deux hommes ? Oui, à l’évidence. Ensemble ? Pourquoi pas. Est-ce que j’assume ce que je fais ? On dirait, oui. Nous plaisantons, jouons au jeu de la séduction, faisons quelques allusions grivoises, sirotons nos verres. Et nous montons. Je suis à fleur de peau. Le passage à trois devant la réception, la montée toujours trop lente de l’ascenseur. Nous pénétrons dans la chambre, les garçons s’observent. Et le tourbillon m’emporte.
    
    Un tourbillon de mains qui s’engouffrent de part et d’autre de mes larges manches, se croisent dans mon dos, sur ma poitrine. Si je perds l’équilibre, ils seront deux pour me rattraper. En attendant, c’est ...
    ... l’appréhension que je perds. Leurs mains s’aventurent sous ma culotte, la mienne plonge dans la braguette que je ne connais pas ou si peu. Ce n’est pas le déséquilibre qui me fait tomber à genoux, mais l’envie irrépressible de pomper l’énorme trique qui en sort. Celle de mon mari attend sagement son tour, plus timide. Elle achève de gonfler dans ma bouche. Le spectacle de sa femme agenouillée allant et venant entre deux bites a l’air de lui plaire. Je ne pense pas vraiment à tout cela, je suis transportée par mes sensations, par mon désir. À son comble.
    
    Je pousse mon amant sur le lit pour poursuivre ma sucette dans une position plus confortable pour tout le monde, le cul bien dressé en arrière. Évidemment, ça n’échappe pas à son propriétaire qui nous suit de près… et m’embroche sans que j’aie le temps de dire ouf.
    
    — Tu avais promis de le laisser me prendre le premier ! protesté-je avant de reprendre mon œuvre.
    — J’ai pas pu résister, mais ce sera le premier dans ton sexe, répond-il malicieusement en continuant à m’enculer.
    
    Quelle ivresse ! Nous commençons fort.
    
    Très fort. Pas une minute ne s’est écoulée après que j’ai entrepris de chevaucher cette queue bien léchée lorsque mon mari présente à nouveau la sienne à l’entrée du petit trou si voisin. Les deux autres doivent être aussi surpris que moi de l’aisance avec laquelle nous nous emboîtons. Et moi qui me demandais si l’audace nous amènerait jusque-là… ! Cela fait moins de vingt minutes que nous sommes entrés dans la ...
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