La cour des grands - Histoires de Sexe

La cour des grands

... particulier à lécher son gland, laper sa verge, croquer son membre derrière ce rideau. Et il n’est pas impossible que j’aie passé une bonne partie du temps les yeux fermés, puisque je ne pouvais pas les planter dans les siens en levant le regard. Je ne le fais pas systématiquement, mais je ne m’en prive pas quand l’envie est là. C’est une prise de contrôle totale. Déjà qu’en suçant un mec, on a le pouvoir, mais en soutenant son regard effrontément pendant qu’on le suce, on peut faire de lui ce qu’on veut…

Oui, c’est vrai que je n’ai pas vu qui entrait dans la chambre et me troussait sans crier gare ce soir-là, mais c’était lui. Oui, c’est vrai qu’il prend d’habitude plus de ménagements avant de me baiser si vaillamment, mais les SMS et leglory hole nous avaient déjà chauffés à blanc. J’étais littéralement trempée ; même lorsqu’il a pris ensuite mon cul si délicat à ouvrir d’habitude, il s’y est glissé sans effort. Oui, il a pu s’approcher de moi pour me susurrer les mots entendus ce soir-là pendant qu’un autre me baisait, mais je n’ai pas entendu de bruit suspect, de parquet qui craque…

Ces doutes tournent dans ma tête pendant que je termine ma lecture et que mon mari prend doublement son pied, mélangeant le plaisir des caresses de ma délicieuse chatte avec celui de me faire gamberger. Nous changeons de position et je prends le dessus en le chevauchant, bien décidée à lui faire cracher le morceau. On verra ensuite pour qu’il crache le reste.

— Ce n’est pas vrai, ...

... c’était toi ce soir-là.
— Tu es sûre ? me répond-il avec un sourire narquois.
— Ben, je pense mais je ne sais plus, du coup.
— Que préfères-tu ?
— La vérité !
— Les deux vérités te plaisent ?
— Si c’est pas vrai, alors tu m’as bien excitée, tu es fou, ça me plaît.
— Et si c’est vrai ?
— Alors… si c’est vrai… on joue dans la cour des grands !
— Tu me plais, ma femme.
— On est tellement fort, tellement amoureux, on peut tout se permettre.
— Je suis ravi que ça te plaise, tu es la meilleure.
— Allez, dis-moi maintenant !
— De quelle manière veux-tu que je te le dise ?
— Si c’est pas vrai, je veux que tu jouisses derrière moi, mais dans ma chatte.
— Et si c’est vrai ?
— Hmmm…
— Si c’est vrai, je jouis entre tes cuisses alors, les yeux dans tes yeux.

Mélange d’excitation, de plaisir, de peur, de doute… Il me prend encore et encore, me retourne sur le ventre. C’est pas vrai ! Je le savais… Je suis rassurée. Il me retourne encore… quel sadique ! Mais il me baise bien ce sadique. Je prends mon pied. C’est vrai alors ? Je me serais fait prendre par un inconnu sous mon propre toit ? Je me serais tapé mon premier Black sans le savoir ? Mon mari est dingue. Putain, je l’aime, je l’aime encore plus. Allez, viens, viens en moi. Il me retourne encore, il veut que je jouisse, il sait que je jouis plus facilement en levrette. Surtout lorsque la danse de mes doigts sur mon clito accompagne ses longs coups de reins. Oui, fais-moi jouir j’arrive… je monte, je monte, je… mais ce ...