Private Investigations - Histoires de Sexe

Private Investigations

... doigts, observant avec plaisir ses yeux se révulser à ce contact. Je vois qu’elle se bat pour garder une contenance, mais que son corps lui dicte un tout autre message : sa respiration s’accélère, encore plus alors que je me presse contre elle afin qu’elle sente mon début d’érection, juste quelques centimètres au-dessous de ses mains menottées.

Je plie les genoux et mes mains parcourent à présent ses hanches puis ses fesses pour s’arrêter au contact grisant de ses bas en soie, juste sous la robe. Puis je ramène mes mains vers l’intérieur, passant sous la robe et découvrant le renflement de son porte-jarretelles. Ensuite vient la peau douce de ses cuisses et je peux enfin sentir la douce moiteur qui émane de son sexe alors que je me rapproche toujours plus du gros lot. Je vois dans le miroir que j’ai gagné. Ginger a fermé les yeux, tout en anticipation de ce qu’il va advenir. Parfait. C’est exactement ce que je voulais obtenir et j’avoue en être ridiculement fier.

Je me relève alors, la tire par les menottes vers le milieu de l’ascenseur puis presse le bouton d’arrêt pour que la machine reprenne son mouvement vers le haut. Je lui souris de manière hypocrite. Je sais que je la laisse frustrée…

— Apparemment, vous n’avez rien de caché sur vous. Je ne vois pas vraiment où, d’ailleurs. Mais je vais quand même être obligé de faire une fouille plus profonde dans un instant.

J’ai pris ma voix de flic, pour qu’elle sache qu’elle n’a aucune autre option. Je lis sa ...

... frustration dans ses yeux. L’arrêt subit de mes attouchements la laisse visiblement dans un état de confusion avancé.

— Mais… Je pensais… pourquoi n’avez-vous pas…

Elle ne sait plus comment agir avec moi, elle a complètement perdu de sa superbe.

— Pourquoi je n’ai pas quoi ? Cru en toi ? Fais mon job de flic ? Écoute ma petite, ici c’est moi qui pose les questions. Toi, tu obéis, tu fais ce qu’on te dit de faire et tu réponds quand et comment je te le dis. Sinon, pour ta punition, je redeviens le flic qui joue selon les règles et on va au poste.

Toujours ce ton dur de flic, accompagné du regard noir qui va bien.

— On est d’accord ?

Elle penche la tête et regarde le sol de la cabine, en attitude de pure soumission. Je sais ce qu’elle va dire, et c’est exactement là où je voulais qu’elle en arrive. Vous voyez, ces fameux "talents" de persuasion, c’est comme ça que je les exerce, sur des femmes. Surtout sur celles qui, en apparence, sont les moins douées pour se soumettre. Parfois, j’en ai honte… Mais sur le coup c’est tellement bon !

— Oui, Monsieur, murmure-t-elle.

Juste deux mots, et elle me possède. C’est elle qui se soumet, mais là, je lui appartiens. Heureusement, elle ne le sait pas.

L’ascenseur s’arrête enfin au neuvième étage. Je récupère son sac à main, puis je l’attrape par la nuque et je la pousse dans le couloir. Arrivés devant la chambre 917, je fouille dans son sac et en extrais la clé de la chambre.

Nous entrons et je la pousse vers le lit. ...