1. Private Investigations


    Datte: 31/10/2020, Catégories: fh, frousses, ascenseur, hotel, fouetfesse, fsodo, policier, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... anus.
    
    Je pense que mes intentions sont claires et ça n’a pas l’air de lui déplaire puisqu’elle pousse ses fesses contre mes doigts. Mon pouce s’immisce avec une facilité déconcertante dans l’antre de ses fesses ; il semblerait que la demoiselle ait de la pratique aussi, de ce côté-là. Retirant mon pouce je présente à l’orée de son sphincter le gland bien plus épais de mon sexe. Je m’enfonce ainsi avec une extrême lenteur, puis, une fois que le gland a passé l’obstacle, j’enfouis jusqu’à la racine ma queue dans l’étroit fourreau, mon bassin venant s’écraser sur ses fesses écartelées.
    
    Une fois encore, quelle vue somptueuse !
    
    Profondément emmanché en elle, je la repositionne sur les genoux pour avoir un accès facilité à sa poitrine que je caresse d’une main, pendant que l’autre main, contournant ses hanches descend doucement caresser son clitoris. Je le pince doucement pendant que mon sexe entame de profonds va-et-vient entre ses fesses si serrées.
    
    — Oui, c’est si bon ! Plus fort ! Prenez-moi fort, Monsieur ! Oui ! Continuez… Je vais jouir…
    
    Je sens qu’en effet elle va encore jouir. Cette femme est réellement multi-orgasmique. Jamais jusqu’à ce jour je n’avais connu une telle expérience, et pourtant, j’en ai connu des demoiselles chaudes du cul… J’intensifie alors les mouvements, tant de ma queue que de mes doigts et elle ne tarde pas à être prise de soubresauts de plus en plus violents, atteignant le climax en un long cri :
    
    — ...
    ... Ouiii, oh, ouiiii, je jouiiiis, hhhmmm c’est tellement bon… Vous aussi, Monsieur, remplissez-moi !
    
    Je n’y tiens plus et s’enfonçant alors au plus profond d’elle, ma queue lâche enfin de longues saccades de sperme dans ses entrailles, la hampe de mon sexe serrée comme jamais par son anus, puis je m’effondre sur elle. Nous restons immobiles tous deux, essayant de retrouver notre souffle, pour ce qui me semble une éternité. Son visage resplendit de plaisir et de satisfaction. Le mien doit être tout aussi lumineux.
    
    Notre petit jeu étant fini, j’enlève gentiment les liens qui la tiennent attachée aux piliers du lit, de même que les pinces sur ses tétons. Et je l’embrasse doucement sur les lèvres, la tenant serrée dans mes bras, attendant que les derniers frissons de plaisir quittent son corps.
    
    — Merci ! me dit-elle. Merci de m’avoir prise comme je suis, et de m’avoir fait l’amour comme j’aime.
    
    Je crois que je l’ai dans la peau, cette fille !
    
    Et si, pour une fois, j’en obtenais une de compensation ? Si à la fin de cette journée je ne sortais pas de mon enquête, encore plus désenchanté qu’en la démarrant, seul avec ma bouteille de whisky et un nouveau lot de mensonges ? Qu’est-ce que je pourrais en retirer ? Une belle fille, gentille, pas bête, et très sensuelle… N’est-ce pas ce qu’on recherche tous ? Une fille qui adoucira ma vie, soignera mes cicatrices, une compensation pour toutes ces enquêtes privées qui resteront mon lot quotidien. 
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