1. Private Investigations


    Datte: 31/10/2020, Catégories: fh, frousses, ascenseur, hotel, fouetfesse, fsodo, policier, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... tire hors du bar jusqu’au lobby de l’hôtel. Comme je J’avais déjà remarqué tout à l’heure, elle ne manifeste aucune peur, plutôt de l’excitation, cherchant à cacher son sourire. Je vais vite faire disparaître ce sourire de son visage : je récupère son petit sac à main, je place ses deux bras dans son dos et prenant dans ma veste une paire de menottes de police, je lui attache les deux poignets ensemble. Le métal enserre étroitement ses poignets mais ça n’a pas l’air de l’impressionner.
    
    — Inspecteur, il y a sûrement un moyen de nous entendre, me chuchote-t-elle à l’oreille.
    — Vraiment ? Vous pensez honnêtement qu’en flirtant avec moi vous allez vous en sortir ? Sûrement pas. Vous êtes une pute. D’accord, une pute de grande classe qui se fait des michetons riches, mais une pute quand même et pour ça vous serez punie.
    
    J’avais pris une voix dure, de commandement.
    
    — S’il vous plaît, je ne peux pas être arrêtée, mon mari ne comprendrait jamais. Il y a sûrement quelque chose que je peux faire, un moyen de s’arranger. Je ferai tout ce que vous voulez.
    
    Là elle fait moins la fière et je vois une larme couler sur sa joue. Elle m’impressionne, elle réussit à avoir l’air à la fois apeurée et suprêmement excitée.
    
    — Oh, tu vas être punie, dis-je me mettant soudainement à la tutoyer, et tu vas sentir passer ta douleur.
    
    Je la tire vers l’entrée de l’hôtel et sa peur grandit, mais comme je tourne vers les ascenseurs, son regard s’illumine. Une vieille dame sort de ...
    ... l’ascenseur en nous jetant un regard plein de désapprobation.
    
    — Affaire de police, Madame, dis-je à la vieille pour qu’elle nous laisse entrer plus rapidement dans l’ascenseur.
    
    L’ascenseur est maintenant vide, ses parois, tout en miroirs, me permettent de voir les yeux de Ginger : elle me fixe avec une sorte d’appétit dans le regard.
    
    — C’est quoi le numéro de ta chambre ? Je suppose que si tu tapines au bar, tu dois avoir une chambre pour aller avec tes michetons.
    — C’est la 917.
    
    J’appuie sur le bouton du neuvième étage et la machine s’ébranle, commençant son ascension. Comme l’ascenseur passe au niveau du deuxième étage, j’appuie sur le bouton d’arrêt d’urgence, repousse la rousse contre la paroi et la tourne face au mur. D’un petit coup de pied, je l’oblige à écarter les jambes, je pose son sac à main sur le sol et je commence à faire courir mes mains sur son corps. Je vais lentement de ses épaules à son ventre, frôlant sa poitrine au passage. Je sens son corps réagir et j’observe sur sa nuque un début de chair de poule.
    
    — Je ne vais prendre aucun risque avec toi. As-tu quelque chose de caché sous cette robe qui pourrait servir d’arme ?
    
    Je murmure à son oreille, mon souffle chaud caressant son cou pendant que je place délibérément mes deux mains sur ses seins fermes. Je sens à travers le fin tissu de la robe ses mamelons durcir ; ils deviennent d’ailleurs visibles sous la robe. Je la regarde dans les yeux, à travers le miroir et je pince les deux tétons entre mes ...
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