Private Investigations - Histoires de Sexe

Private Investigations

... de tout son corps, sa respiration s’accélère encore avant de se transformer en cris retentissants alors qu’un orgasme la transporte.

Wow ! J’ai rarement vu une fille aussi réactive aux jeux de domination…

— S’il vous plaît, Monsieur, prenez-moi ! me lance-t-elle.

« Holà ! Pas si vite, ma cocotte. Avant de te donner ce plaisir, il va falloir que tu répondes à mes questions. » me dis-je in petto. Je vais devoir la maintenir au bord du plaisir pour l’obliger à me dire la vérité.

— Tais-toi, chienne ! Si tu en veux plus, il va falloir que tu m’en dises beaucoup plus sur tes combines ! je lui dis tout en faisant aller et venir le cuir de la cravache sur son clitoris et entre ses petites lèvres. Humphrey Bogart, ça te dit quelque chose ? Apparemment, tu l’as arnaqué mardi dernier, ici, dans cet hôtel…
— C’est n’importe quoi ! C’est totalement f… Aïe !

Je ne lui laisse pas le temps d’aller plus loin dans ses dénégations et je l’interromps par un coup de cravache particulièrement appuyé juste sur le haut des cuisses, là où ça fait le plus mal.

— Ta gueule, petite pute ! Je ne te demande pas de confirmer, je sais que c’est ce qui s’est passé. Je veux juste savoir pour qui tu travaillais ce mardi.
— Mais je vous jure, je n… Ouille !

Cette fois-ci la cravache a cinglé directement sur son sexe, le zébrant de rouge.

— Le nom du type, tout de suite !

Et cette fois-ci, c’est le bas du dos qui reçoit le coup cinglant de la badine.

— Arrêtez… Monsieur ! C’est ...

... James Ellroy ! C’est lui qui m’a payée pour que je piège monsieur Bogart… De temps en temps il me demande ça et me donne 100 $ en échange…

James Ellroy ! Pourquoi ne suis-je pas surpris ? Ancien avocat véreux, il s’est vite spécialisé dans les escroqueries qui nécessitent un peu de bagage juridique.

— OK. Tu vas m’écrire une lettre d’aveux que je puisse arrêter Ellroy.

Bien sûr, comme je ne suis pas flic, cette lettre n’aura aucune valeur légale, mais Ginger, elle, ne le sait pas.

— Oui, Monsieur.

Pour lui montrer ma satisfaction, je caresse doucement ses fesses avec la cravache, puis je la glisse entre ses petites lèvres, jusqu’à son clitoris toujours bien visible. Elle ne peut s’empêcher de gémir à nouveau. Si ça se trouve elle a même apprécié que je me montre plus brutal. Pour en avoir le cœur net, je lui redonne un coup de cravache sur les fesses, puis j’attends. Insensiblement, presque malgré elle, elle tend la croupe. Mais oui, elle en veut encore… Avec quelques coups tout en douceur sur ses jambes, je l’oblige à écarter encore plus les cuisses et me faciliter ainsi l’accès à son sexe luisant de cyprine.

— Écarte les jambes ! lui dis-je, avec deux coups plus appuyés pour joindre le geste à la parole.

Je sens que mon ton impérieux la plonge plus profondément dans un état de soumission et, obéissante, elle écarte ses jambes et cambre ses reins pour m’offrir une vue somptueuse sur son sexe couleur corail, surmonté du mignon petit plug de cristal enfoncé ...