Private Investigations
Datte: 31/10/2020,
Catégories:
fh,
frousses,
ascenseur,
hotel,
fouetfesse,
fsodo,
policier,
Auteur: Pericles, Source: Revebebe
... de lubrifiant et je l’enfonce d’une longue poussée en elle, la voyant frissonner de plaisir alors que son anus accepte l’objet.
— Magnifique ! Une pute comme toi ne devrait jamais sortir sans ses bijoux !
Puis, continuant à fouiller dans son sac et en extirpant des pinces à tétons incrustées d’émeraudes :
— Il me semble que j’ai oublié quelque chose.
J’ai définitivement abandonné de feindre d’être un flic, je ne suis plus qu’un mec aux penchants légèrement dominateurs qui a trouvé une partenaire de jeu absolument volontaire.
Je me décale pour pouvoir accéder à sa magnifique poitrine.
— Si tu bouges, je vais t’attacher. Si tu gémis, je vais te bâillonner. Tu me comprends bien, petite pute ?
— Oui, Monsieur.
C’est la réponse que j’attendais : je clipse alors les pinces sur les tétons de Ginger. Elle tressaille sous la douleur des crocs de métal et pousse un petit cri en même temps. Je sais que là, elle joue avec moi. Elle a fait exprès de désobéir. D’ailleurs, d’un air de pure innocence, elle me dit :
— Je suis désolée, Monsieur. S’il vous plaît, pas de liens ni de bâillon.
Que puis-je faire ? Je ne peux pas la laisser sans punition si je veux garder le contrôle, elle a su jouer de mes propres mots pour m’obliger à agir. Je la renverse sur le lit, à plat-ventre et les bras allongés et, sortant de son sac des liens, je l’attache aux piliers de la tête de lit. Je la vois sourire, fière de nous avoir amenés là où elle voulait que nous soyons. Moi qui ...
... voulais être celui qui dirige, voilà qu’elle a pris le contrôle des opérations.
Pour me venger, je serre les liens fort afin qu’elle ne puisse plus bouger. Je prends dans son sac une jolie cravache et caresse ses fesses bien exposées avec le cuir souple.
— OK. On va oublier le bâillon pour le moment. Il est temps pour toi de payer, ma chérie. Combien de coups mérites-tu pour tes agissements d’aujourd’hui, selon toi ?
Après une courte réflexion, elle me répond :
— Euh… cinq, Monsieur ?
Si elle a dit ça sur le ton d’une question, j’ai bien compris que ce n’en est pas une. Je sens ma queue se durcir dans mon boxer en même temps que je lève la cravache au-dessus de son corps. Elle se cambre encore plus, véritable appel au crime. Le son du cuir frappant ses fesses est vite couvert par le doux gémissement de plaisir qui s’échappe des lèvres de Ginger. Dès le premier coup, qu’en plus je n’ai pas vraiment appuyé, je la sens qui se laisse aller. Finis les petits jeux et le rôle qu’elle a voulu jouer avec moi, la partie primitive de son cerveau ayant maintenant pris le relais, c’est la recherche du pur plaisir qui dicte ses actes.
À chacun des 4 coups suivants, le gémissement se fait plus fort ; on est bien loin de cris de douleur ; non, c’est juste le feulement d’une femme éperdue de désir qui s’élève. À chaque coup, son excitation va crescendo, trahi par la cyprine coulant doucement sur ses cuisses. Et au cinquième coup, elle arque le dos puis elle se met à trembler ...