Private Investigations
Datte: 31/10/2020,
Catégories:
fh,
frousses,
ascenseur,
hotel,
fouetfesse,
fsodo,
policier,
Auteur: Pericles, Source: Revebebe
... entre ses fesses. Instantanément, mon érection menace de faire exploser les boutons de la braguette de mon pantalon.
La cravache posée sur son sexe, tantôt l’effleurant, tantôt pressant plus fort sur son clitoris, je laisse Ginger attendre, à son grand désarroi. Elle manifeste son impatience en remuant des fesses. Je continue à promener la tige de cuir sur les rondeurs de cette superbe croupe, alternant légers tapotements et petits claquements secs qui provoquent d’adorables petits sursauts et des gémissements de plus en plus marqués. Puis de temps en temps, je glisse la badine de son clitoris aux lèvres baveuses de son sexe. Enfin, j’accélère le mouvement et j’appuie plus fortement mes coups. Ses fesses blanches – quelle superbe carnation de rousse elle a – deviennent vite d’un rouge flamboyant, la marque rectangulaire de l’embout en cuir de la cravache s’affichant en relief sur sa peau.
Dans un état second Ginger semble de plus en plus sensible à ce mélange entre plaisir et douleur. Preuve en est, le jus tiède de son sexe s’écoulant de plus en plus en plus abondamment le long de ses cuisses. Cette double stimulation de son sexe et de ses fesses vient enfin à bout du plaisir de la rousse et une forte houle secoue ses reins violemment pendant qu’elle hurle sa deuxième jouissance.
À nouveau, elle tourne sa tête vers moi et me supplie :
— Prenez-moi, Monsieur ! S’il vous plaît !
Je suis moi-même au bord de l’explosion aussi je décide de lui accorder ce qu’elle ...
... demande. Déboutonnant mon pantalon et écartant mon boxer, je sors mon engin que j’ai peu souvent vu aussi gros. Cette fille m’a excité comme rarement je l’ai été. Je glisse mon gland entre les lèvres de son sexe, le recouvrant rapidement de sa mouille, puis d’un unique coup de reins je m’enfonce au plus profond d’elle. Je ne peux m’empêcher de gémir au plaisir que me procurent les parois de velours de sa chatte glissant le long de ma queue gorgée de sang.
J’arrête de bouger un instant, émerveillé par cette vision si suprêmement érotique de son sexe écartelé autour de ma queue, de son abandon total, croupe offerte et poignets toujours attachés aux piliers du lit. Puis je me mets à la pilonner sur un rythme frénétique : cela fait bien trop de temps que mon excitation est à son maximum et que je réfrène mes ardeurs. Un long soupir de plaisir s’élève dans la chambre. Est-ce elle ? Est-ce moi ? Nous sommes tous deux passés à un stade où plus rien ne compte que les sensations que nous envoient nos sexes respectifs.
Je sens monter son plaisir ; va-t-elle jouir une troisième fois ? Elle tourne la tête pour me regarder, les yeux presque révulsés, la crinière rouge en bataille. Cela m’excite encore plus et je sais qu’il s’en faut d’un rien que je ne la rejoigne dans l’orgasme. Aussi, je me retire de son sexe, et dans le même temps je retire le plug de cristal de ses fesses, et récupérant de mes doigts un peu de la cyprine qui recouvre ma queue, j’en barbouille l’œillet mauve de son ...