1. Dernière nuit militaire


    Datte: 25/10/2020, Catégories: uniforme, grosseins, fsodo, Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe

    ... continue à nous réchauffer et à éclairer les magnifiques rondeurs de ma partenaire.
    
    En passant au-dessus d’elle pour prendre la bûche, je sentis sa main agripper mon sexe. Je me crispai d’un coup, tant le contact sur mon gland irrité était à la limite de la douleur. Je la regardai, inquiet :
    
    — Il faut lui faire un bisou, au serpent, me lança Katia en souriant. Pour le remercier.
    — Tu n’es pas obligée. Ce n’est pas très…
    — Laisse-moi faire…
    
    Je n’en revenais pas. Elle me coinçait au-dessus de son visage et prenait mon sexe flasque et visqueux dans sa bouche. Jamais elle ne l’avait fait après une relation. Je parvins à lancer tant bien que mal la bûche dans le feu avant de lui faciliter la tâche en m’ajustant au-dessus de sa bouche. D’une taille moindre, je voyais mon sexe disparaître entièrement dans sa bouche et gonfler le haut de sa gorge. Très sensible après nos rapports étroits, chacune de ses bruyantes succions m’arrachait un cri dû autant au plaisir qu’à la douleur, pourtant furtive. Je voulus me retirer à un moment, mais mon sergent m’intima l’ordre de rester dans sa bouche en mettant ses mains sur mes fesses brûlantes pour me guider comme elle le désirait vers sa bouche. Mon sexe était prisonnier de guerre de ses lèvres, de sa langue, et ne pouvait se libérer.
    
    Je voulus faire plaisir à mon geôlier en caressant d’une main son entrecuisse, m’obligeant à me pencher un peu et à me plaquer un peu plus contre sa bouche. Ses mains accélérèrent les va-et-vient de ...
    ... mon bassin et sa bouche envahie laissait à son nez le soin de respirer et de gémir de mes caresses.
    
    Mon sexe mit du temps à retrouver une érection complète qui, cette fois, lui parut difficilement acceptable, tant les bruits que mon amie produisait se rapprochaient du haut-le-cœur. Après avoir connu un plaisir tel un feu d’artifice inoubliable, je vécus un bouquet final incroyable lorsque le plaisir me vint une troisième fois. Je criai, tant je croyais disparaître tout entier dans sa bouche où elle me gardait toujours grâce à ses mains sur mes fesses. J’en tremblai quelques secondes dans sa bouche, puis me laissai retomber dans les draps, libérant mon membre de sa prison à plaisirs.
    
    Cette fois, c’est moi qui avais la tête dans les draps, le sexe à vif et les poumons dilatés. Katia se rapprocha de mon oreille :
    
    — Égalité ? me demanda-t-elle, la bouche engluée.
    — Oh, que oui ! articulai-je difficilement. Tu as été bestiale, toi aussi.
    — Un peu chienne, même ; non ?
    — Carrément, concédai-je en souriant.
    
    Nous nous rentrâmes sous les couvertures et plus un mot ne s’échappa de nos bouches. Nous nous endormîmes au son du crépitement des flammes. Nous nous étions mis le feu.
    
    ***
    
    Le réveil fut spécial, silencieux. Je lui amenai le petit déjeuner au coin du feu, toujours vivant, le posant entre le matelas et la cheminée. Dans mon esprit, nous avions vécu notre dernière nuit d’amour et notre relation se terminait aujourd’hui. Je l’embrassai tendrement sur le front ...
«12...4567»