Dernière nuit militaire
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
uniforme,
grosseins,
fsodo,
Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe
... anus, appuya comme sur une sonnette pour prévenir qu’il entrait, puis s’invita en la pénétrant doucement de cette patte plus grosse que les deux autres. Au fur et à mesure que j’accélérais, ses murmures se transformaient en râles, en gémissements puis en ces ahanements qu’elle poussait lorsque je la prenais par cette voie-là.
C’était la première fois que je lui prodiguais ce traitement. Mon invitée semblait tant l’apprécier qu’elle ne fit même pas attention au rire que je ne pus refréner, pensant à une blague grossière de régiment sur les packs de bière. Elle était dans un état second et se dodelinait de bas en haut et de gauche à droite, frottant sa hanche contre mon sexe de plus en plus dur. Je me mis à onduler à mon tour, accompagnant cet imposant fessier que mes doigts pénétraient. Peu après, j’approchai ma bouche de son oreille :
— Tu veux que le serpent prenne la place de l’araignée ?
— Haan ! Oui ! Vas-y… Han ! Viens ! Han ! Haaann !
Je retirai mes doigts de ses voies intimes puis me postai une dernière fois contre les fesses de mon sous-officier. Toujours face au feu, elle était prête pour un autre assaut.
J’étais maintenant à genoux, ses fesses entre mes cuisses, le sexe à l’entrée de sa grotte la plus étroite.
— Le serpent arrive, ma douce, et les araignées sont jalouses…
Elle se contenta de sourire agréablement en gardant les yeux fermés. Sa bouche s’ouvrit lorsque j’entrai doucement, mais d’un seul coup dans ses fesses. C’était la première fois ...
... que je la sodomisais sans coït préalable.
Mes mains rejouèrent aux araignées en agrippant fermement ses fesses, les amenant et les éloignant du serpent de très nombreuses fois. Pendant de longues minutes, la chaleur des cheminées de son corps et de ma maison me fit transpirer à grosses gouttes. Katia lâchait prise et laissait son corps crier son plaisir. Ce qu’elle ne pouvait faire dans sa chambre de militaire, elle se le permettait dans ma petite maison sans voisins. Ses cris envahissaient la pièce éclairée par le feu ; aucun mot tendre ni coquin ne sortait de sa bouche déformée par le plaisir et la douleur.
Tout mon être était comblé par notre union. Mes yeux contemplaient sa peau dorée enjolivée par les flammes, ses cheveux ébouriffés qui virevoltaient quand sa tête bougeait vite, ses énormes seins écrasés qui débordaient et ses grosses fesses qui ondulaient à chacun de mes coups de boutoir. Mes oreilles se délectaient de l’entendre ahaner pour la première fois aussi fort. Ma bouche savourait le goût de sa peau que j’embrassais lorsqu’elle se cambrait pour se rapprocher de moi.
Je ne pouvais plus tenir. J’allais venir, m’abandonner. J’accélérai alors la cadence pour tenter de lui arracher autant de plaisir que j’allais en prendre ; et lorsque je me plaquai durement une dernière fois contre elle, nous criâmes ensemble comme nous n’avions jamais pu le faire auparavant.
J’étais couché sur son dos, collé à elle par la moiteur de nos corps bouillants. Le crépitement ...