Dernière nuit militaire
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
uniforme,
grosseins,
fsodo,
Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe
Je poursuis mon récit qui me permet de me souvenir des si beaux moments passés après les premiers jours de notre rencontre il y a presque vingt ans, jusqu’à il y a quelques mois. Je vous les décrirai épisodiquement car la suite de notre aventure s’est déroulée comme cela, par épisodes. Je tenterai sans prétention dans chaque épisode d’améliorer les textes pour permettre au lecteur de partager autant que faire se peut ces merveilleux moments.Résumé des deux premiers épisodes : Après une relation torride de sept mois avec une plantureuse militaire, nous nous séparons avant son retour à la vie civile. Notre dernière nuit restera inoubliable.
Après nos premières nuits, nous vécûmes de longs mois d’hiver à faire la fête, et surtout à faire l’amour. Je passais la plupart de mes nuits et de mes week-ends de garde dans la chambre de mon sergent. Elle comblait mes désirs et, en raison de son appétit croissant, j’avais parfois du mal à récupérer entre deux nuits de fête et de luxure.
Elle m’avait confié qu’elle n’avait, à vingt ans, connu qu’un seul homme avant moi. C’était dans un autre hôpital interarmées, quelques mois avant sa mutation, et ça ne s’était pas bien passé. Sa gourmandise m’amena à penser qu’elle avait décidé de rattraper le temps perdu, et grâce au ciel, c’était avec moi. J’eus l’honneur et le plaisir d’être le premier à explorer ses grosses fesses fermes que je sodomisais parfois dès le réveil, son « entre-seins » où je m’abandonnais si souvent, et sa jolie ...
... bouche d’ange qui était si goulue et avide pour me mettre au garde-à-vous.
Vingt ans plus tard, je me dis aujourd’hui que pendant tous ces mois, j’ai entraperçu une facette du bonheur. Et je regrette de ne pas avoir tout fait pour qu’il dure, car au mois d’avril suivant, mon sergent finissait son service long ; et pour ne pas compliquer la situation, elle décida de stopper notre relation.
Malgré tout l’amour qu’elle me donnait et celui que nous faisions ensemble, je ne m’étais jamais attaché, et c’est sans souffrir que j’acceptais et comprenais notre rupture. Elle me l’avait annoncée au début de ce mois d’avril pendant lequel nous allions connaître malgré tout d’autres nuits torrides, en amis.
La dernière se passa pour la première fois hors de l’hôpital militaire. Une autre amie volontaire avait insisté pour que j’honore ce qui avait été pour Katia une promesse. J’avais en effet parlé à mon sergent de ma petite maison de campagne, héritée de mon père, isolée, avec une cheminée à côté de laquelle nous pourrions dormir. Katia me l’avait plusieurs fois rappelé, mais j’avais probablement du mal à faire sortir notre relation de l’hôpital. L’amie volontaire avait fini par me convaincre et j’organisai cette dernière nuit pour le dernier week-end d’avril, avant sa sortie définitive de la vie militaire.
Nous partîmes le samedi après-midi pour un voyage en voiture à destination de ma petite maison, située à l’autre bout du département. N’ayant toujours pas le permis à ...