1. Dernière nuit militaire


    Datte: 25/10/2020, Catégories: uniforme, grosseins, fsodo, Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe

    ... vingt-cinq ans, je n’avais pas de voiture, au contraire de mon sergent qui possédait les deux.
    
    Les kilomètres défilaient toujours rapidement quand je la regardais conduire. La ceinture de sécurité faisait ressortir ses énormes seins et les rendaient aussi attrayants que lorsqu’ils étaient dans leur plus simple appareil.
    
    Nous arrivâmes à destination dans ma petite maison de campagne sans confort et sans chauffage ; je décidai de faire un feu dès les premiers instants. Je ne venais pratiquement jamais, mais j’y retrouvai très vite mes marques. Je proposai d’aller faire un tour pendant que le feu réchaufferait la maison. Nous allâmes visiter une petite ville touristique à une quinzaine de kilomètres, mangeâmes dans une pizzeria assez tôt, puis rentrâmes prestement comme des gamins pressés de jouer à leur jeu favori.
    
    La nuit était tombée et nous étions coupés du monde devant ma petite maison dont la cheminée fumait. Nous nous racontions des bêtises pour nous faire peur dans cette nuit noire. Je réussis à lui faire croire que j’avais perdu les clés et que j’avais peur que le feu brûle la maison. Bref, lorsqu’elle vit mes clés réapparaître, elle se blottit rassurée contre moi, me reprochant ma farce et nous pûmes entrer dans la maison désormais, elle aussi, bien plus chaude.
    
    Nous avons fait de l’espace autour de la cheminée et avons ramené un matelas de la chambre, avec draps et couvertures. Posé sur des petits tapis de lit, le champ de tir était en place.
    
    Mon ...
    ... sergent alla se mettre en tenue de combat dans de la chambre, prit un peu de temps pour une toilette à l’ancienne, puis vint me rejoindre sous les draps, jouant toujours à la jeune fille apeurée par le noir que nous avions volontairement fait dans les autres pièces. Ses pieds et ses mains étaient gelés. Déjà réchauffé par le feu, je lui frictionnai énergiquement le dos et les bras. Elle vint se blottir contre moi, tout en continuant à jouer à la jeune fille apeurée :
    
    — Merci de m’avoir recueillie dans votre château, Monsieur le comte.
    — C’est tout naturel, gente dame, finis-je par répondre en jouant le jeu, un peu surpris. Vous n’avez pas peur dans ces contrées lointaines, seule et dévêtue ?
    — Non. Pourquoi ? Je devrais ? Vous n’allez pas me faire de mal au moins ? me lança mon sergent avec un petit sourire coquin.
    — Moi non, mon petit. Mais les araignées du château peuvent parfois être très méchantes. Elles sont énooormes, plaisantai-je en agitant une main aux doigts écartés.
    — Hou là là… Elles piquent fort, ces vilaines bêtes ?
    — Rassurez-vous, jeune fille, elles ne serrent que plus ou moins fort ce qu’elles attrapent.
    
    Elle était allongé sur son côté droit ; ma main se posa amoureusement sur le bas de sa jambe.
    
    — Mmm, tu as les mains chaudes… me confia mon invitée.
    — Ce n’est pas ma main, ironisai-je. Je crains qu’une araignée du château ne se soit glissée sous les couvertures.
    
    Elle s’assit sur le matelas, puis enleva rapidement le long tee-shirt qui lui servait ...
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