1. Dernière nuit militaire


    Datte: 25/10/2020, Catégories: uniforme, grosseins, fsodo, Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe

    ... des flammes couvrait nos souffles, haletants. Nous gémissions toujours, en essayant de récupérer l’énergie suffisante pour apprécier le moment vécu : la béatitude. Quelques instants plus tard, toujours au garde-à-vous dans les fesses de mon sergent, je repris couché sur elle un mouvement de va-et-vient, en douceur.
    
    — Encore, lui imposai-je en la redressant par les hanches sur ses genoux.
    — Ouiii… me chuchota difficilement mon invitée.
    
    J’arrivai à rester en elle tout en me postant à califourchon au-dessus de ses fesses. Cette fois je la chevauchais, pieds à plat de chaque côté du matelas. Heureux de me sentir aussi fougueux qu’un étalon, je la pilonnais de haut en bas en forçant le mouvement à chaque jonction, aidé par ma main qui maintenait et caressait son entrecuisse lorsque je me penchais. Katia recommença de suite à crier, d’une façon plus plaintive que je ne lui connaissais pas. Ayant peur de lui faire mal, je lui demandai :
    
    — Ça va ?
    — Hin ! Hin ! Hin ! Oui ! Hin ! Hin ! Continue !
    
    Rassuré, je repris de plus belle ma chevauchée, en saisissant ses cheveux dans mes mains comme un cavalier prend une crinière pour rennes. Ma monture et moi dégoulinions de sueur et je claquais sur elle dans des bruits aussi vicieux que visqueux. Je ne pourrais dire combien de temps nous avons cavalé, mais pour ne pas jouir, je regardais souvent le feu qui faiblissait petit à petit. Katia hurla à deux ou trois reprises avant que je ne m’abandonne une nouvelle fois dans sa ...
    ... croupe paradisiaque. À mon tour, je criai un plaisir unique que je n’oublierai jamais. J’eus l’impression que cette nouvelle éjaculation arracha de mon entrejambe bien plus que ma semence. Je tremblais et gémissais tout en riant, surpris par ce que je ne me souvenais pas avoir connu. J’avais tout donné, tout, et j’avais tout reçu. Je m’écroulai à son côté, les yeux fixés aux poutres en bois.
    
    Katia était restée dans la même posture, la tête enfouie dans les draps, retrouvant son souffle.
    
    — Ça va ? lui demandai-je encore.
    — Tu m’as… défoncée… J’ai mal aux reins. Et j’ai le cul en feu.
    — Tu es blessée, Sergent ? ironisai-je d’une voix hollywoodienne bien connue.
    
    Elle ricana malgré tout et parvint difficilement à s’allonger sur le dos à mes côtés.
    
    — Qu’est-ce qui t’a pris ? me demanda-t-elle.
    — Ah, tu n’as pas aimé ? Je suis désolé, je croyais que…
    — Mais si, c’était… pffiou… terrible. Tu étais si… bestial. On n’avait jamais fait l’amour comme ça, toi et moi.
    — Je suis vidé, lui avouai-je.
    
    Nous restâmes de longs moments inertes, les yeux dans le vide, reprenant notre respiration. Toujours brûlants, nous n’avions pas remonté les couvertures. Katia était splendide, détendue, les bras écartés, les seins tombant majestueusement sur ses côtés et les cuisses légèrement ouvertes. Je remerciai le ciel et le feu pour la beauté qu’ils offraient à mes yeux. Je me remis sur mes genoux juste un instant pour prendre une bûche posée à côté de mon sergent. Je voulais que le feu ...
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