Solstice d'un fleuve
Datte: 13/10/2020,
Catégories:
f,
ff,
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inconnu,
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fépilée,
vacances,
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voyage,
collection,
amour,
miroir,
vidéox,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
Oral
fgode,
jouet,
lavement,
uro,
BDSM / Fétichisme
nostalgie,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... Aujourd’hui, il est vraiment palpitant d’envie : regarde comme il s’arrondit en changeant de couleur. Quand il est saillant comme ça, je ne peux pas m’empêcher de l’asticoter, sinon je deviens folle. Pourtant, je l’ai titillé tout ce matin, avant que tu viennes, mais il en veut encore, ce clitounet polisson. Gourmand, va ! Tu prends beaucoup de place dans ma vie, mais qu’est-ce que c’est bon de te chatouiller sous les yeux d’une jolie princesse ! Tu vas voir, praline jolie, Latifa a sûrement un bouton d’amour très mignon aussi : tu vas bien t’entendre avec lui, quand vous serez réunis.
Elle a réussi à me faire rire.
— Tu dois penser : « je suis tombée sur une cinglée qui parle à son clitoris ! »
— À chacun sa folie, petite ou grande. Moi-même, je dois en tenir une bonne couche pour courir après un amour fini depuis quinze ans.
Pendant que je quitte corsage et pantalon, sa main parcourt sa fente herbue de bas en haut. Pour l’accompagner dans son onanisme, je lui caresse doucement les pieds, et lèche ses orteils dont j’apprécie beaucoup les odeurs et le goût. Nos regards se croisent. Elle rougit de son impudeur, alors que son orchidée écarlate, exaspérée de caresses, lui envoie des signaux de plaisir renforcés. Son autre main caresse son ventre à l’intérieur duquel une vie attend de paraître. Je brûle d’envie de l’imiter, de palper moi aussi cet endroit fécond, et d’y porter mes lèvres.
Puis elle suce son pouce et se blottit contre une peluche, les yeux mi-clos, ...
... femme-enfant aux longues journées solitaires régnant sur son monde sucré qui est un étonnant mélange de fantasmes assumés et d’innocente lasciveté. De son regard émane une paix bienfaisante. J’ai eu la chance qu’elle me laisse entrer dans cet univers intime, toute en confiance.
La complicité féminine rend les mots inutiles. Devinant mes pensées, elle prend ma main et la porte sur son nombril. Émue par ce geste qui est une offrande de maternité partagée, je ne peux m’empêcher de pleurer. Je suis comme cela, émotive à l’extrême. Elle me prend dans ses bras et nos lèvres se joignent, pendant que mon pouce fait doucement rouler son clitoris à l’intérieur du fourreau. Appuyée sur mes jambes, elle pèse de tout son poids de deux vies réunies, et ma langue se régale de la peau distendue du ventre révélé à mon désir, puis, lorsqu’elle bascule en arrière, glisse vers le sexe prégnant des parfums de sa grossesse, riches et forts, qui me régalent du mont de Vénus au périnée. J’aspire, à l’entrée du vagin, les sucs un peu gluants et m’en délecte avec un appétit insatiable, avant de remonter vers la colline magique du plaisir qui m’attendait, toute replète, avec impatience. Je n’ai jamais vu de clitoridienne aussi réactive : le contact buccal sur cet organe est pour elle comme électrique. Elle tressaille et gémit doucement, puis de plus en plus fort, brûlante d’une fièvre érotique, haletante et les yeux révulsés. Soudain, elle jouit en renversant sa tête en arrière, la bouche ouverte en ...