1. Solstice d'un fleuve


    Datte: 13/10/2020, Catégories: f, ff, ffh, inconnu, enceinte, fépilée, vacances, bain, voyage, collection, amour, miroir, vidéox, odeurs, ffontaine, Masturbation Oral fgode, jouet, lavement, uro, BDSM / Fétichisme nostalgie, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... troublant. Magalie me voir blêmir de cette apparition et me tient tendrement la main.
    
    Nous finissons par trouver la scène de la crucifixion, la plus saisissante de la carrière pornographique de la belle Murena, qui est offerte aux regards de ses bourreaux et de la foule – car il y a de nombreuses figurantes – suspendue à bonne hauteur par de gros clous sanguinolents, les cuisses écartées largement, les organes génitaux complètement exposés à la hauteur de la tête des soldates cruelles qui la tourmentent en permanence. Il lui a fallu une totale impudeur pour accepter de tourner cette scène. Elle est contrainte à se laisser lécher, masturber, stimuler par tous ses orifices. Sa manière de se tenir, à cause de l’inconfort réel de sa posture, est une danse étrange et lascive, sur une musique de fond électronique, sans doute improvisée au synthétiseur, pas du tout adaptée au scénario. Les spectatrices, toutes des femmes, sont galvanisées, électrisées par le supplice auquel elles participent. Toujours fixée sur sa croix, la victime atteint des orgasmes qui ne sont visiblement pas du cinéma, avant de succomber dans un grand cri final au milieu d’un torrent de faux sang, mais de vraie mouille. Tout cela est aussi pervers que fascinant, le« snuff movie » le plus dérangeant qui soit, malgré la mauvaise qualité de l’image.
    
    Je doute fort qu’il soit possible de trouver ainsi des indices qui me permettraient de retrouver mon amour perdu. Cependant, c’est tout un aspect de sa vie ...
    ... qui se révèle brutalement, inattendu, insoupçonnable. Sous les traits d’une affriolante Murena surgie du passé, qui se laisse avilir d’une manière extrême, où est passée la jeune femme pudique et réservée que j’ai connue jadis ?
    
    Mon hôtesse trouve cela parfaitement excitant. Je la vois glisser discrètement une main dans sa culotte. Puis, elle se déshabille. Son ventre arrondi m’impressionne et m’affole.
    
    — Tu ne crains pas que ton mari rentre à l’improviste ?
    — Si cela se produit, tu te cacheras dans un placard : ce sera Labiche, ou Feydeau, et s’il te trouve là, tu lui diras… ce que tu voudras ! Mais c’est très improbable, parce qu’en ce moment, il est en voyage d’affaires à Shanghai. À moins qu’il me raconte des histoires et qu’il soit, en réalité, en galante compagnie à côté d’ici. Qu’importe. Tu veux bien que je me caresse devant toi ? Tu vas me trouver coquine, mais ça m’excite beaucoup qu’une femme me regarde quand je me donne du plaisir.
    — Fais-le, bien sûr, tu es chez toi. Tu sais, hier j’ai tourné une scène chez le même producteur. Elles m’ont attachée toute nue, chatouillée puis branlée à outrance. Tu veux me voir nue ?
    — Oui, montre-moi. Tu as bien fait de venir. Regarde, chérie, dit-elle en écartant ses grandes lèvres entre index et majeur puis en extrayant son clitoris du petit fourreau, les jambes tendues et largement ouvertes d’une manière étonnamment souple, mon berlingot est tout esbaudi de ta présence, tout gonflé tellement il est content de te voir. ...
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