1. Les moches sont les pires des salopes


    Datte: 11/10/2020, Catégories: fh, couleurs, complexe, laid(e)s, ffontaine, Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe

    ... particulièrement de cette disposition qui pouvait très brusquement la faire basculer d’un effarouchement radical à une négligente impudence sitôt le premier pas accompli. Je revins lentement vers elle et me penchai sur son visage pour le dévorer. Comme tétanisée, elle se laissa aduler, subissant inerte et sans broncher cet hommage. Ne quittant son visage du regard, je conduisis mains et bouche vers sa merveilleuse poitrine que j’effleurai d’un attouchement léger qui la fit tressaillir, électrisée, et je la vis prête à défaillir. Sans hâte, je prodiguai à profusion mes cajoleries à ces dômes splendides, évitant toujours le saint des seins, le relief épanoui et bien accentué de l’aréole et le tétin dilaté. Sa respiration s’accéléra et j’imaginai les effarements qui la galvanisaient.
    
    Nous n’en étions encore qu’au préambule que déjà elle s’évadait sur les ailes d’une prodigieuse allégresse. Était-ce une trop longue abstinence qui favorisait ainsi les réceptivités de mon ange ? Une crispation de ses traits alors marqua son impatience, et tandis que j’entourai son téton droit de mes doigts en une caresse plus ferme, j’aspirai l’autre entre mes lèvres brûlantes et desséchées. La réaction fut vive et Amalia se cambra, ses seins encore s’affermirent tandis qu’elle entonna une complainte ardente et continue. Encouragé par cette attitude, je vouai ma langue à une danse débridée autour de ses cimes qui s’allongèrent démesurément. Jamais je n’avais vu mamelon capable de telles ...
    ... élongations, et les siens s’érigeaient hors de toute proportion. Leur texture grumeleuse ravissait mes papilles, et j’aurais pu poursuivre indéfiniment ce jeu ; mais des soupirs et des ahanements de plus en plus vifs m’appelaient à visiter d’autres merveilles. Je me collai à elle pour me pénétrer de sa douce chaleur, me blottir contre ce torse qui m’invitait. Mes lèvres parcourant les cordialités de son visage, l’une de mes mains toujours au régal de son téton occupée, l’autre se hasarda en affleurements timides sous la bure anthracite, remontant par degrés, régulièrement, inexorablement, le long de sa jambe nue vers le sanctuaire de nos espérances. Que n’avais-je d’yeux au bout de mes phalanges pour les repaître de ces jardins si privatifs !
    
    Ma main flânait sur le lustre d’une peau bienheureuse, souple et frissonnante de convoitise. Son visage était défait, ses yeux fermés pour se concentrer sur ses sensations, et ses lèvres entrouvertes émettaient un doux râle incessant qui s’amplifiait par instants en gémissements heureux. J’atteignis l’entrecuisse étonnamment moite et flattai d’abord son mont de Vénus à travers un linge trempé d’émoi. La jeune fille s’arqua, tendue vers son extase, modulant sa complainte en chant mélodieux. Je pilotai un doigt insolant sous l’élastique claustral pour déclencher cette convulsion qui galvanisa tout son corps autant sans doute que son esprit. Elle battit des bras qu’elle referma sur moi, empoissa ma main de ses félicités et émit une longue ...
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