Les ailes du papillon
Datte: 08/10/2020,
Catégories:
ff,
fagée,
amour,
Oral
Auteur: Polyphème, Source: Revebebe
... s’exécuta assez lascivement mais soudainement gênée par le contact du corps à moitié nu de son amie, elle retrouva une certaine distance et bredouilla :
— Tu es sûre de ce que tu fais ?
— Je pense que oui, fit Corinne, avec un sourire
Elle se débarrassa de sa robe et, creusant les reins, pressant ses seins, elle aguicha son amie.
— Tu avais dit ne pas être prête pour une expérience de ce genre… Maintenant, ça te dit ?
— J’hésite encore, sourit-elle.
— Bon, je vais te soûler alors.
Et Corinne saisit la bouteille et les deux flûtes qu’elle lui tendit et entreprit de faire sauter le bouchon. Naturellement, elle l’arrosa – et s’arrosa en même temps – copieusement. Stéphanie eut un petit cri et tendit sa flûte pour trinquer. Elles vidèrent leurs verres, les yeux dans les yeux et Corinne les remplit à nouveau les flûtes – et elles les vidèrent encore – et puis encore et encore jusqu’à ce que la bouteille fût vide et que Corinne la déposa sur le tapis. Elles les vidèrent une dernière fois et les posèrent sur la table basse et de nouveau s’enlacèrent dans un baiser passionné. Corinne lui caressa la joue.
— Te sens-tu prête, maintenant ?
— Peut-être, fit Stéphanie en souriant. Je ne me suis jamais sentie comme ça avant. Toute chaude, toute tremblante et…
— Et ?
— Terriblement mouillée !
— Mouillée, vraiment ?
— Mouillée, vraiment, fit Stéphanie en riant et couvrant le visage de Corinne de petits baisers sonores.
— OK. Allons vérifier ça.
Corinne conduisit ...
... Stéphanie dans sa chambre et alluma sa lampe de chevet, créant un nid de confort et de chaleur.
— Tu es si belle, susurra Corinne à l’oreille de son amie. J’ai eu envie de toi dès que je t’ai rencontrée. J’ai été avec d’autres femmes avant toi, mais tu es la première avec qui j’ai vraiment envie de faire l’amour chez moi, dans mon lit – et de t’avoir dans ma vie.
— Je ne sais pas quoi dire.
— Alors ne dis rien – et viens à moi maintenant mon amour.
Corinne regardait avec ravissement la jeune femme qui, debout face à elle, respirait bruyamment, avec une expression adorablement lascive. Elle prit Stéphanie par les mains et l’attira à elle. Stéphanie se laissa alors enfin tomber dans ses bras en signe de reddition – tous ses doutes avaient disparu.
Corinne enfouit son visage dans le creux entre le cou et l’épaule de son amie, embrassant et léchant la peau douce et parfumée de la jeune femme frissonnante et offerte ; ses lèvres entrouvertes remontèrent le long du cou en effleurant d’une langue légère comme une plume la chair délicate. Stéphanie gémit et ses mamelons lui semblaient plus durs et sensibles qu’ils ne l’avaient jamais été ; haletante, les yeux mi-clos, elle sentait la mouille qui inondait sa culotte ruisseler à l’intérieur de ses cuisses.
— J’adore ton cul, fit Corinne en pétrissant les fesses de Stéphanie à pleines mains.
— Embrasse-moi.
Les lèvres de Corinne étaient enfin parvenues à celles de Stéphanie et de la pointe de sa langue elle les titilla ...