1. Les ailes du papillon


    Datte: 08/10/2020, Catégories: ff, fagée, amour, Oral Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... Stéphanie n’avait certes pas son expérience, mais son énergie était intarissable et elles pressaient leurs chattes dans un délire érotique, se jetant des regards brûlants où se mêlaient le désir éperdu et le plaisir débridé. Corinne griffait le dos de Stéphanie avec ses ongles et mordait dans son épaule pour ne pas crier. Leurs seins tressautaient dans un balancement impudique – et ceux de Corinne, plus lourds, rebondissaient littéralement. Elles étaient toutes deux bien déterminées à, cette fois, jouir ensemble.
    
    — Jouis avec moi, Corinne. Je sens ta chatte… Je te sens. Tu es prête, n’est-ce pas ? Chérie ?
    — Oui, chérie oui, oh baise-moi, baise-moi. Ta chatte avec la mienne. Oh oui, oui. Ne t’arrête pas… Je vais… Oh oui. Je n’ai jamais… Je jouis. Je jouis ! Je jouis ! Ton clitoris sur le mien ! Oui oui oui oui oui. Baise-moi chérie. Baise-moi ! Oui, ouiiiiii.
    
    Les jambes de Corinne soudain se raidirent, tandis qu’elle pressait sa chatte de toutes ses forces contre celle de la jeune femme. Stéphanie inonda sa ...
    ... maîtresse en même temps que cette dernière jouissait elle-même et la serra comme pour extraire jusqu’à la dernière goutte de son plaisir et le mêler à celui de son amante. Les deux tribades étaient trempées, leurs toisons emmêlées, enchevêtrées, leurs corps luisaient de sueur, de mouille et de salive.
    
    Stéphanie s’effondra sur Corinne qui garda ses jambes enroulées autour d’elle pour garder la communion un peu plus longtemps. Elles s’embrassèrent de nouveau et gardèrent leurs lèvres unies aussi longtemps que possible avant que l’épuisement physique vienne à bout de leur désir et finisse par séparer leurs corps épuisés.
    
    Stéphanie se dégagea de Corinne et se blottit dans ses bras. Ses doigts caressaient doucement la poitrine et les mamelons et occasionnellement, elle penchait la tête pour embrasser son buste et son cou, pour en lécher les gouttes de sueur. Le seul son qu’on entendait dans la chambre était le bruit de leurs respirations qui bientôt s’apaisèrent tandis qu’elles s’endormaient étroitement enlacées. 
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