L'apparition de Marie... nue ! - Histoires de Sexe

L'apparition de Marie... nue !

... Un jour, je me suis fait surprendre pendant que j’étais assise sur un banc à me sécher, l’esprit ailleurs. Avant que j’aie pu réagir, une des filles m’a arraché la serviette et m’a plaqué un magistral patin en s’emparant de mes seins tandis qu’une autre salope m’a traîtreusement ouvert les cuisses et m’a pratiqué une fabuleuse minette. J’étais paralysée, tétanisée, car ça avait été instantanément trop bon. Et sans doute qu’inconsciemment j’avais toujours rêvé de ça.

C’était, c’était… ouuuuh… j’en tremble encore. Mais sais-tu ce qui a accéléré mon orgasme, et c’est ce pourquoi je te le raconte : je n’ai pensé qu’à ta queue pendant tout le temps que je me faisais bouffer la chatte. Comme si la langue de cette adorable salope était devenue ta queue. Ce fut mon premier vrai orgasme. Gigantesque. Et il y en a eu d’autres, toujours avec la même fille, et toujours avec l’image de ta queue. Alors tu peux mesurer combien j’étais malheureuse quand tu as quitté le club. Par révolte contre le sort, je me suis bêtement précipitée sur le premier venu, mon patron de l’époque, mon mari actuel. Mais pourquoi, pourquoi m’as-tu abandonnée, imbécile ?

— Doucement, j’étais marié, à l’époque.
— Sois franc : ça t’aurait empêché de… ? Comment t’as dit : le triangle ?

À mon tour de baisser la tête.

— Reprenons : Marie, t’es vraiment sérieuse ? C’est avec moi que tu veux sauter le pas pour un second dépucelage ?
— Second dépucelage ? Euh… pas compris.
— Je traduis : ton premier ...

... adultère. Tu verras, ce sera de loin meilleur que ta première queue.
— Pas tout à fait mon premier adultère : je revois encore de temps en temps Mélanie qui m’avait mis cet insupportable enfer entre les cuisses. Mais ça ne doit pas valoir celui promis par la bite d’un homme que je connais bien. Et puis, j’y songe : est-ce qu’on peut faire confiance à un futur suborneur de femme mariée ?
— Futur oui, suborneur, non ! Je me verrais plutôt innocente victime de tes appétits coupables.
— Donc tu serais d’accord ? Dis-le-moi.

Je la laissais mariner dans son jus une bonne dizaine de secondes.

— Oui, je suis partant. Mais pas ici, pas maintenant. Tu sais, ils ont des caméras de surveillance.

Fou rire. Son regard était lumineux et son esprit déjà ailleurs… Elle reprit :

— Eh bé, si j’avais su que je rencontrerais superman au supermarché, aujourd’hui ! Il a des années d’absence à se faire pardonner.
— Tu ne regretteras pas de mettre le doigt dans l’engrenage ?
— Pardon, je rectifie : ton doigt dans mon engrenage ! Quant à un quelconque regret, aucun, bien au contraire ! Je me sens libérée, tu peux pas savoir. Mais je te préviens, t’auras intérêt à assurer. Cette fois-ci, coach, pas de consignes verbales, mais du concret, du solide, du béton !
— Je t’ai bien observée depuis dix minutes. Avec ce que j’ai vu et entendu à l’instant, ajouté à ce que j’ai déjà vu dans le temps, tu sais, le triangle sans le bermuda, j’ai assez de munitions pour voir l’avenir avec confiance. Derrière ...