L'apparition de Marie... nue ! - Histoires de Sexe

L'apparition de Marie... nue !

... tes airs prudes de bourgeoise bcbg se cache une redoutable femelle. Sous la banquise, le volcan. Je sais déjà ce que je vais t’infliger.
— Ah oui ? Quoi ? Dis-moi tout.
— Tu supportes les propos crus ?
— Maintenant et de toi, oui. Vas-y !

Je m’échauffai à l’échauffer :

— Je vais t’arracher le slip, je vais t’écarter les cuisses, je vais te manger la chatte avant de la défoncer, je vais te transformer en salope, je vais…
— Stop ! J’en sais assez pour fantasmer jusqu’à ce que cela m’arrive et même que ça me motivera encore plus en attendant. Ne m’en raconte pas trop, tu me priverais du plaisir de la découverte. Moi, mes ambitions sont limitées à ta queue, notre sujet de conversation favori dans les vestiaires. Je veux la voir, je veux la toucher, je la veux pour moi, pour moi seule, moi, l’unique parmi toutes ces idiotes qui la convoitaient. Mais surtout pas par vanité, je te rassure : juste pour le plaisir.
— Marie, il faut que je te prévienne tout de suite, il y aura un petit problème. Enfin petit, c’est manière de parler.
— Quoi ? On t’a amputé ? dit-elle d’un air faussement anxieux.
— C’est malin ! Non, on me m’a pas amputé, mais c’est pire que ça… et il faudra que tu fasses avec : je suis légèrement surmembré.
— Tu plaisantes ? Tu sais combien je mesure, nabot ? Comme je suis construite, je suis capable d’absorber n’importe quelle taille d’envahisseur.

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L’heure tournait, il était temps de se séparer. Échange de 06 et dernières ...

... recommandations :

— Marie, j’ai un souhait pour le jour où on se reverra ; que tu portes un training, comme celui que tu portes maintenant. Tu sais, les anciens souvenirs allument les nouveaux appétits…
— Mon jogging, ça ira ? Comme j’en fais régulièrement, ce sera une excellente excuse pour m’absenter de chez moi.
— Oui, et sous le jogging, pas de string, j’aime pas, plutôt un slip blanc, ça m’excite.
— Petit Bateau, pendant que tu y es ?
— Hein ? Tu as ça ? Oui ? Mais c’est Byzance !

Je la raccompagnai jusqu’à sa voiture. Pas de bise, surtout pas en espace public. En fait, j’avais autre chose en tête, de beaucoup plus osé, de beaucoup plus traître. Je n’avais plus de raison de me gêner. Elle était déjà assise au volant lorsque, de l’extérieur de la voiture, je m’autorisai un geste qui la surprit : je lui plaquai sans crier gare la paume de ma main sur son entrejambe et le malaxai. Elle sursauta, mais n’afficha aucune révolte. Au contraire, elle écarta ses cuisses et poussa ses fesses vers le rebord du siège… Puis elle posa sa main sur le dos de la mienne, en rejetant la tête en arrière. Du cinéma muet, certes, mais quel film ! Elle augmenta soudain la pression sur ma main. Sa respiration s’accéléra, devint sifflante, s’emballa. La mèche devait être courte, car le baril de poudre explosa sans attendre. Son corps s’arc-bouta, Marie émit comme un sanglot puis s’abandonna contre le dossier du siège. Un murmure presque inaudible s’échappa ensuite de ses lèvres :

— Téléphone-moi ...