1. L'apparition de Marie... nue !


    Datte: 04/10/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, jeunes, douche, amour, hdomine, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe

    ... figure, mais je ne verrais pas qui.
    — Marie, arrête, tu n’aurais que te baisser pour en cueillir autant que tu voudras.
    — Tu rigoles ? Et comment faire le tri ? C’est facile, ça ?
    — Eh bien… voyons. Premier critère : qu’il te plaise physiquement, que tu aies envie de lui. Il ne t’est jamais arrivé d’avoir des pensées impures pour un gars ?
    
    Court silence. Un ange passa, poursuivi par une horde de démons…
    
    — Second critère : que ce ne soit pas un con, qu’il ait un minimum d’esprit et de culture. Troisième critère : qu’il ait le respect de la femme, pas un macho de caniveau. Quatrième critère : qu’il ne soit pas collant…
    — T’en as encore beaucoup, des critères, t’arriveras à vider le camion ?
    
    Nous éclatâmes de rire et cela détendit l’atmosphère. Elle réfléchit un long moment en silence, puis me fixa dans les yeux pour m’annoncer gravement :
    
    — En tenant compte de tout ce que tu m’as énoncé, je n’en verrais qu’un, oui, un seul et là, je suis sérieuse. Il offre toutes les garanties que tu viens de citer et… j’ose même te le dire : il me ferait mouiller.
    — Il te ferait mouiller ? Cette perle existe ? Et ce serait qui, l’heureux élu ?
    
    Elle me l’envoya en pleine tronche :
    
    — Toi !
    — Hein, moi ? T’es folle !
    — Oui, toi ! Et ne venez surtout pas protester, monsieur le pyromane, c’est vous qui venez de mettre le feu à la grange. Maintenant, sachez prendre vos responsabilités.
    
    La réponse de la bergère au berger. Son choix me prenait totalement au dépourvu, car je ...
    ... n’aurais jamais imaginé un seul instant que je puisse être concerné. J’en étais resté à mon statut de naguère. Un coach ne peut pas être un sextoy, chacun le sait. Vous n’en trouverez aucun de cette sorte même sur le net.
    
    — Tu sais, à l’époque du volley, nous étions plusieurs à fantasmer sur toi.
    — Wouaf, arrête, tu me fais peur, je sens passer rétrospectivement le vent de l’obus ! Je n’aurais jamais abondé vers qui que ce soit, j’ai toujours fait gaffe à ne pas déraper.
    — T’aurais pourtant mieux fait, de déraper. Je peux t’en citer plusieurs qui se seraient précipitées pour se faire mettre la queue à même le sol des vestiaires. Nous avions parfois des fou-rires de greluches idiotes en essayant d’imaginer comment tu pouvais être monté. Tu vois le niveau de nos préoccupations ! On se fabriquait des châteaux en Espagne, tous surmontés de ton minaret. C’étaient des gamineries de notre âge et je n’étais pas la dernière à participer. Eh bien, crois-moi, si maintenant j’avais la possibilité de vérifier ça de visu, voir ton minaret, ne serait-ce qu’en souvenir de cette époque, quelle victoire sur les copines, même après tant d’années.
    
    Elle marqua une courte pause, l’œil brillant.
    
    — Je change un peu de sujet : il y avait tout un pan de vie entre filles dont tu n’as jamais rien su. Certaines avaient le feu à la chatte et souvent… la main à celle d’une autre.
    — Hein, dans mon équipe à moi ? Mais jamais…
    — Oh que si ! Je n’en suis pas plus fière, car j’y ai succombé aussi. ...
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