1. L'apparition de Marie... nue !


    Datte: 04/10/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, jeunes, douche, amour, hdomine, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe

    ... !
    
    Oui mon Père, la vierge Marie m’est apparue. Nue ! Et c’est l’Enfer qui m’attend, car cette vision ne me quittera plus jamais. Je refuse de la chasser, je n’en aurais d’ailleurs ni la volonté ni l’envie. Resplendissante dans sa nudité, elle avait un petit gigantesque quelque chose… Ah, mon Père, je n’ai pas de mots, je n’aurais que des gestes.
    
    Je me mis un point d’honneur à ne rien laisser paraître de mon émoi et, dans la confusion ambiante, me suis (très lentement) dépêché, dès que libéré des griffes de ces harpies, de fuir ce lieu de perdition. Trempé certes, mais l’esprit ébloui et le pendule au zénith.
    
    A-t-elle capté mon regard, lorsque j’ai flashé sur elle ? Est-ce cela qui l’a poussée à glisser deux doigts dans sa bouche et les faire coulisser lentement, plusieurs fois, en me fixant droit dans les yeux ? Une provocation, n’est-ce pas, mon Père ?
    
    Il ne me restait plus, après cette apparition, qu’à craindre un miracle.
    
    J’ajoute qu’aucune suite désagréable n’est venue prolonger mon intrusion forcée dans les douches des filles, bien que l’histoire eût filtré. Le président du Club me fit juste une remarque compatissante :
    
    — Ben dis-donc, t’as dû souffrir ! La prochaine fois, fais-moi signe, je viendrai partager ton martyre.
    
    **********
    
    Un changement dans ma vie professionnelle, impliquant de nombreux voyages à l’étranger, me contraignit à cesser mes fonctions au club.
    
    Et, quelques années plus tard, à me séparer de mon épouse qui ne supportait ...
    ... plus mes longues absences. Elles la contraignaient, la malheureuse, à combler celles-ci par une succession de « présences » diverses et variées, autres que la mienne, bien sûr. Cela lui avait mis des idées coupables dans la tête et surtout torrides sous la jupe. Bref, comme l’on dit, je ne passais plus les portes. Nous nous quittâmes d’un commun accord et en bons termes. D’ailleurs chaque année, le jour anniversaire de notre séparation, au nom du bon vieux temps, j’ai le droit de lui ouvrir les cuisses et c’est toujours un plaisir de remettre ma bougie sur son exquis gâteau.
    
    Exit le volley, exit la vie associative. Il ne me restait que la vie de citoyen lambda au village, où j’avais gardé mon domicile-pied-à-terre parce que je m’y trouvais bien. Au fil des ans, les gens me reconnaissaient toujours et me saluaient, échangeant quelques paroles amicales avec moi. Heureux rappel du bon vieux temps ! D’anciennes joueuses venaient encore me faire la bise si d’aventure j’en rencontrais une, mais cela s’arrêtait là.
    
    Parfois aussi, je croisais Marie, mais là, pas de bise, juste un petit sourire et un salut amical de loin. Elle me snobait ? Et pourtant, je t’ai vue nue, Marie… J’ai vu ton trésor quand mon regard est remonté le long de tes cuisses, j’ai vu… Mais peut-être était-ce justement à cause de cela que tu gardais maintenant tes distances ?
    
    Pour raison de mariage, elle arrêta le volley quatre ans après mon départ du club… Elle avait épousé son patron, un petit industriel ...
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