L'apparition de Marie... nue !
Datte: 04/10/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
jeunes,
douche,
amour,
hdomine,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe
Je connais Marie depuis longtemps, presque vingt ans si le presque cinquantenaire que je suis a bien compté. À l’époque, je coachais le volley féminin du club local, et elle pratiquait ce sport avec brio. Une joueuse alerte et vive, une des locomotives de l’équipe. Elle était la plus jeune, mais sans doute aussi, la plus douée. Elle attirait sur elle avec un égal bonheur l’œil du célibataire et du non-célibataire. Pas moi, heureusement, car j’étais marié et chacun sait qu’un homme marié ne regarde pas les autres femmes.
Marie est très grande, elle me dépasse de dix bons centimètres. Elle possède des courbes harmonieuses malgré sa taille élancée, des muscles façonnés par le sport, une petite poitrine bien dessinée, des cheveux châtain et un visage juvénile illuminé par un éternel sourire. Marie possède aussi une sacrée personnalité. Et on lui aurait donné le Bon Dieu sans confession. Pas que le Bon Dieu, d’ailleurs, surtout pour les mécréants.
Cela dit, en tant qu’entraîneur, j’étais plus préoccupé par la forme des joueuses que par leurs formes : les matches à préparer, la composition de l’équipe, les stratégies à déployer, etc. Sans être asexué, je mettais toujours ma libido en veilleuse d’autant plus que le trentenaire que j’étais voyait ces jeunesses comme encore des gamines. À tort, peut-être ? Je me conduisais en technicien exigeant d’une phalange sportive, et pas, disons-le poliment,… en moniteur d’« auto-école ».
Pourtant, Marie a explosé ma libido lors d’une ...
... circonstance bien particulière et cela avait transformé mon regard sur elle. Ce fut à l’occasion d’une péripétie festive dont je fus le héros malgré moi. À l’issue d’une finale de Coupe que nous avions remportée de haute lutte, les choses dégénérèrent. Les joueuses s’emparèrent de leur coach et le tirèrent de force dans leur antre, tout habillé sous la douche, avec fanfare musicale de hurlements hystériques et de fou-rires.
Jamais, ô grand jamais, je n’aurais mis les pieds chez les filles sauf que, dans cette embuscade, elles étaient trop nombreuses, remplaçantes comprises, pour que je puisse résister. Impossible de me rebeller sans réagir trop brutalement. Je ne cherchais même plus à me débattre, je me laissais faire en attendant, résigné, la fin du déluge.
Qu’aurais-je dû faire : rentrer la tête dans les épaules et fermer les yeux ?
Surtout pas, j’aurais fait la connerie de ma vie !
Car c’est sous le jet, à travers les gouttes, que m’apparurent deux filles déjà dévêtues. Elles devaient nous avoir précédés dans le local. L’une des deux était Marie.
Je fus pétrifié par cette vision inattendue. Marie valait le coup d’œil… et pas que d’œil. Elle éclipsait totalement sa camarade. La révélation pour moi ! Je ne vis plus que Marie, Marie et rien que Marie ! Et je vis… tout.
Oui mon Père, je le confesse, j’ai vu le sexe de Marie, le triangle de sa toison, ses petits seins, ses longues jambes, et ses yeux fixés sur le pauvre moi qui n’en pouvais mais. Et son regard ...