Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...
Datte: 30/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
rousseurs,
extracon,
oncletante,
plage,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
confession,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... de mari, aux premières années de leur mariage, avait façonné les muscles sans en effacer une tendre et appétissante morbidesse. Les épaules étaient recouvertes d’une constellation des légères tâches de rousseurs. À peine perceptibles à l’œil, elles révélaient sa carnation de blonde. L’échancrure du maillot s’arrêtait pudiquement à hauteur des reins et le tissu moulait de splendides fesses. Leur rotondité n’avait rien à voir avec les durs et anguleux postérieurs des mannequins androgynes qui couvrent les panneaux publicitaires. Je les regardais se balancer doucement au rythme de son pas, imaginant le satiné et la délicatesse de leur peau. Le ventre, que je voyais de trois quart, marquait un très léger bombé qui le rendait tout aussi appétissant que le côté pile. Le tissu ne semblant pas très compressif, le naturel et la grâce de cette courbe laissait suggérer une moelleuse douceur. Le maillot se perdait dans la fourche de ses jambes qui, de ma position, échappait à mon regard.
Je continuais une observation de plus en plus voluptueuse en remontant vers sa poitrine. Un seul sein, le gauche, était à portée de ma curiosité. Rond et lourd, sans exagération, il se balançait au rythme de la marche. Bien que légèrement compressé par le tissu, il paraissait suffisamment libre pour ne pas être entravé dans son mouvement et il me semblait à certains moments deviner le léger renflement d’un mamelon.
Nous avancions pratiquement à la queue-leu-leu sur l’étroite sente de sable entre ...
... la végétation qui arrivait à hauteur de nos épaules et je laissais mon imagination vagabonder au gré des parties de son corps que la marche dévoilait. Les jambes étaient un peu fortes dans leur structure générale mais sans la moindre once de graisse. Moins galbées que ne le veulent les canons de notre siècle, elles ne ressemblaient pas pour autant à ces poteaux dont on parle à propos de jambes tubulaires et se terminaient par une cheville assez forte que marquait à chaque mouvement de pied l’ombre pâle du tendon.
Nous marchions depuis maintenant vingt minutes et semblions seuls au monde si ce n’étaient au loin quelques silhouettes émergeant de la végétation.
— Finalement il y a d’autres promeneurs que nous, lançai-je en rompant le silence qui nous accompagnait.
— Oh non, ce ne sont pas des promeneurs, ce sont des homos qui viennent faire du nu intégral dans le creux des dunes et qui, de temps à autre, se lèvent et scrutent les alentours pour signaler à un éventuel et occasionnel amateur leur présence.
— Il n’y en a quand même pas autant que les lapins, lui répondis-je, alors qu’à quelques mètres de nous la petite queue blanche d’un lapereau disparaissait dans un terrier.
— Les gens du coin surnomment cette dune Pen-ar-Ped, la pointe des pédés ou des homos, en jouant avec le nom breton du Finistère, Pen-ar-Bed. Mais certains ne sont que des voyeurs.
— Tu as l’air bien renseignée dis donc ?
— Ben voyons, tout le monde sait cela ici. Et puis… j’en ai marre de marcher. ...