1. Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...


    Datte: 30/09/2020, Catégories: fh, hplusag, rousseurs, extracon, oncletante, plage, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, fdanus, fsodo, confession, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... fixés sur les vagues qui venaient mourir à quelques mètres de nos pieds nus. À quoi pouvait-elle penser ? Elle, habituellement si active, semblait perdue dans de mystérieuses pensées. Signe probable d’une anxiété chagrine, un petit pli ombrait son front et une moue boudeuse plissait ses lèvres fermées où brillait encore une goutte cristalline de vin. Elle écarta les pans du tissu et le laissa glisser. Je n’avais jamais véritablement considéré Rachel comme une femme au sens où l’ayant connue enfant et adolescente, je ne pouvais l’envisager comme un objet de désir et encore moins sexuel.
    
    D’un mouvement alangui et sensuel, elle avait ramené ses genoux contre sa poitrine et posé son menton sur ses genoux, le regard songeur perdu vers l’insondable horizon. Je tentais en vain de revenir vers la page de mon livre sans retrouver la phrase où je l’avais laissée. Il était quatorze heures, les effets conjugués du soleil et du vin blanc glacé commençaient à m’envahir d’une lascive torpeur. Protégé par les verres fumés de mes lunettes je détachai mon regard des lignes qui dansaient sur la page blanche et revins vers ma charmante voisine. Elle n’avait pas bougé d’un centimètre, laissant la brise marine jouer avec la mèche blonde qui masquait maintenant son visage. Mes yeux glissaient sur l’ovale de son épaule dorée par le soleil et, suivant l’arrondi de son bras, vinrent caresser la courbe de son sein écrasé contre ses genoux.
    
    Rachel portait un maillot de bain d’une pièce du même ...
    ... bleu que son paréo. Les couleurs du sable et de de la mer répondaient en écho à celles de sa peau et de son maillot formant un tableau d’une douce harmonie. La brise s’était calmée et mon regard, poursuivant sa découverte, caressait maintenant l’arrondi de son genou et descendit jusqu’à ses chevilles constellées de paillettes scintillantes de sable.
    
    Rachel, à vrai dire, n’avait pas la perfection glacée des mannequins allongés sur le couché brillant des magazines. Son corps n’avait pas les proportions idéales et fantasmées des modèles mais celles, bien plus réelles, de ce que chaque homme qui la rencontrait nommait une très jolie jeune femme ordinaire. De ces femmes qui par leur naturel, la grâce spontanée de leur maintien et de leur conversation, attirent le regard des hommes. Sa peau, sous le doré du léger hâle, laissait entrevoir une carnation de vraie blonde et, au creux du coude, l’on pouvait deviner sous l’épiderme diaphane l’imperceptible tracé d’une veine bleu pâle comme une trace d’aquarelle. Le soleil jouait avec le léger duvet blond de ses avant-bras qui enserraient ses jambes juste en dessous des genoux. Ses deux grossesses n’avaient, semble-t-il, laissé aucun mauvais souvenir visible, et seules ses jambes un peu rondes apportaient ce je-ne-sais-quoi et ce presque-rien d’authentique qui rend chaque petite imperfection si désirable.
    
    Elle avait, par réflexe, enfoncé ses pieds dans le sable, peut-être pour atténuer le tracé un peu fort de ses chevilles. Les femmes, ...
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