Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...
Datte: 30/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
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extracon,
oncletante,
plage,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
confession,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... on aurait dû mettre des chaussures, ça pique !
Par jeu, Rachel avait conservé une voix de petite fille.
— Allez ! Tire, je ne suis pas quand même pas une grosse dondon !
Je tirai en reculant et la fis monter sur la dune. Arrivé au sommet, je desserrai l’emprise de mes doigts pour libérer la jeune femme mais, à ma grande surprise, elle serra ses doigts pour maintenir sa main dans la mienne. Le regard caché sous les pans de son chapeau, elle entamait déjà la descente de l’autre versant. Loin de donner à ce geste un sens quelconque, je pensais que s’était simplement pour s’assurer une prise dans le sable glissant. Je la suivis en freinant sa glissade jusqu’au chemin vallonné qui sinuait entre deux dunes. Arrivé sur le plat, je desserrais à nouveau la pression de mes doigts estimant toute assistance inutile, mais elle raffermit à nouveau la sienne.
— Cela te dérange que nous nous tenions la main ? dit-elle, sans me regarder. On ne sait jamais, je pourrais glisser.
La voix c’était faite un peu plus sourde. J’hésitai un instant.
— Non bien sûr – et de rajouter sur le ton de la plaisanterie – tu sais, à mon âge c’est plutôt moi qui aurais besoin de ton aide.
Un éclat de rire fusa sous la paille.
– Eh bien, mon cousin, si tous les hommes de ton âge avaient le même physique que toi, cela ferait des ravages et ce ne sont pas les jeunes garde-malade qui manqueraient.
Elle accompagna son rire par autant de pressions de ses doigts qu’elle avait croisés avec les ...
... miens.
– Allez, c’est par là, suis moi… faux papi.
Rachel avançait à un pas devant moi. Je ne faisais rien pour me porter à sa hauteur. De cette position mon regard pouvait tout à loisir détailler ce corps entraperçu quelques minutes plus tôt. J’avais balayé les quelques scrupules, qui m’avaient d’ailleurs bien faiblement effleuré, et je me plongeai dans la contemplation de mon guide. Elle avançait d’un pas assuré entre les touffes d’oyats, suivant d’invisibles coulées de lapin. Les dunes de Trélez ont vu, depuis son classement comme zone protégée, les lapins pulluler. Elle se mit à chantonner une comptine que je reconnus comme étant celle que chantait la mère de ma femme, sa tante, quand elle accompagnait sa ribambelle de petits-enfants en promenade.
— Marchons dans le vent du matin du matin levant, marchons dans le vent chantons gaiement…
Je me surpris à chantonner à mi-voix avec elle, et repris mon observation qui n’avait, je l’avoue, plus rien d’innocent et de machinal. Je sentais ses doigts entrelacés avec les miens et sa paume tiède au creux de ma main. De temps en temps elle jouait machinalement avec mes doigts et les pressions des premiers contacts ressemblaient de plus en plus à de légères caresses. Chassant toutes idées que ma belle-mère aurait qualifiées de « sensuelles », je me contentais de cette situation pour continuer mon observation. L’arrière du maillot, largement échancré, dévoilait un dos au galbe parfait. La pratique du kayak avec son sportif ...