1. Tentation sur les Champs


    Datte: 26/09/2020, Catégories: f, Masturbation jouet, journal, tarifé, Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... dans ma chambre, j’ouvre le tiroir de ma table de nuit, je me saisis du petit canard, dernier cadeau de mon cher époux pour pallier ses longues absences. Je me déshabille et je m’installe dans le canapé du séjour.
    
    Actionné à la vitesse maximale, le petit volatile se glisse comme dans son élément entre mes petites lèvres luisantes de sécrétions intimes. Chaque passage sur mon clito déclenche une crispation de tout mon bas-ventre.
    
    Au lieu de faire monter lentement mon plaisir je ne résiste pas à l’envie d’une jouissance immédiate, j’écarte ma vulve pour mieux m’offrir aux vibrations et je laisse la tête du canard (c’est la partie qui vibre le plus) collée sur mon petit bouton jusqu’à la délivrance explosive.
    
    Le premier spasme arrive en quelques secondes, m’arque le corps, m’arrache un long couinement. Les suivants s’enchaînent comme les grains d’un chapelet… trois… quatre… Sous la violence de mes contractions mon vibro s’échappe, je le remets en place, mon orgasme rebondit… cinq… six… sept… huit… jusqu’a ce que mon clito rende grâce en devenant douloureux.
    
    À regret, je lui octroie un moment de répit, je dirige le petit canard vers ma poitrine, je m’amuse à me faire vibrer les bouts de seins tout en les pétrissant à la limite de la douleur. Au bout de quelques instant, plus bas, mon sexe redemande.
    
    Le canard reprend le chemin de ma vulve, cette fois-ci, ...
    ... j’enfonce la tête du volatile dans mon vagin, sa petite queue venant frôler divinement mon clito… et je serre les jambes… je me laisse envahir par les ondes, tout mon corps vibre à l’unisson. Oh, que c’est bon ! Le plaisir renaît, enfle au fond de mon sexe, j’écarte et je resserre plus ou moins les jambes pour en maîtriser la montée, décidée cette fois-ci à faire durer l’instant magique où le raz-de-marée emporte tout.
    
    20 heures. Épuisée, lessivée et enfin calmée par une longue séance de plaisir solitaire suivie d’une petite douche réparatrice, je reprends mes esprits.
    
    Comment ai-je pu être attirée par ce mec ? Jusqu’où serais-je allée ?
    
    D’abord, qu’est ce qui m’a tentée dans sa proposition ?
    
    Le sexe ? Avec un vieux vicieux ? Quelle horreur ! J’ai cent fois mieux à la maison.
    
    Le fric ? Non, je gagne bien ma vie et Pierre encore plus.
    
    Alors quoi ?
    
    Il a touché une corde sensible.
    
    Il faut remonter à mon adolescence. Complexée (voir mon chapitre 1), je me trouvais trop grande, trop maigre, trop plate, enlaidie par des grosses lunettes et de l’acné plein la figure, je me jugeais incapable d’attirer un beau garçon. Parallèlement je faisais des rêves érotiques où je jouais les filles de Mme Claude comme si mon inconscient voulait me signifier que je n’étais pas si moche que ça.
    
    En flattant mon ego, ce Canadien a mis fin à mes derniers complexes. 
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