1. Tentation sur les Champs


    Datte: 26/09/2020, Catégories: f, Masturbation jouet, journal, tarifé, Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... m’écoutant il éclate de rire et m’explique :
    
    — Il y a quelque chose que vous ne savez pas.
    — Quoi donc ?
    — Cette galerie est connue comme point de rencontre entre des femmes « bien comme il faut » des quartiers chics qui ont besoin de boucler leur fin de mois ou désirent s’offrir la robe dont elles rêvent, et des hommes prêts à payer cher pour s’offrir une jolie femme qui ne soit pas une professionnelle. Cela se passe en début d’après-midi car ces dames doivent être rentrées chez elles quand leurs enfants rentrent de l’école. Elles tournent et retournent dans la galerie, elles ne sont pas difficiles à repérer. Elles acceptent toutes puisqu’elles sont là pour ça, sauf si le type est réellement trop moche, ou ne propose pas assez.
    — Ah bon ! C’est donc ça ! Comme j’étais en avance, je faisais du lèche-vitrine, il a fait une méprise.
    — Ce qui m’étonne c’est la somme, je ne pensais pas que les tarifs étaient si élevés.
    — C’est monté haut parce qu’il était bourré de fric et qu’il n’avait pas l’habitude qu’on lui résiste.
    — C’est vrai, tout est relatif. J’ai des amis fortunés qui dépensent facilement 2000 € voire plus pour une journée de chasse en Sologne. Alors pour passer une nuit avec une jeune femme comme vous, c’est donné. Tout dépend de ce que l’on chasse, ajoute-t-il en souriant.
    
    Il me voit toute décontenancée et ajoute :
    
    — Excusez-moi, je n’ai pas beaucoup de temps. Avez-vous regardé mon dossier ?
    
    17 heures, impossible de travailler j’ai la cervelle en ...
    ... ébullition. Je quitte mon bureau plus tôt que d’habitude, obnubilée par mon aventure.
    
    Une femme n’a pas de prix. Seul compte le désir qu’elle inspire.
    
    Je me traite de conne. En faisant monter la mayonnaise, en croisant mes jambes un peu haut pour lui faire entrevoir le paradis, en lui avouant que j’avais l’orgasme facile (pas toujours, hélas), que j’étais insatiable (par moments), que mon vagin était un vrai casse-noisette à l’usage exclusif d’un mari que je n’ai jamais trompé (vrai), que mes petites fesses étaient encore vierges (faux), je lui faisais péter les plombs à ce Canadien. J’obtenais 3000 € sans problème, le fric ne comptait pas pour lui.
    
    Sûr, c’était un vicieux, il ne m’aurait pas ménagée, il m’aurait sodomisée grave, et alors ? Cela ne me fait pas peur, dans mes rêves érotiques je me fais violer de tous les cotés.
    
    Il m’aurait foutu dehors au petit matin, et alors ? Je serais repartie ni vue ni connue, nantie de 3000 € pour m’acheter des fringues et le sac dont je rêve…
    
    J’ai de l’or entre les jambes, je ne le savais pas ! Vendre mes charmes de temps en temps au lieu de gagner des clopinettes à la banque, pourquoi pas ? Pierre me laisse seule une semaine par mois, largement le temps de me faire une montagne de fric… Je sais où il faut traîner en début d’après-midi…
    
    Karine, tu es en plein délire, redescends sur terre. Qu’est-ce qui t’arrive ?
    
    Une irrésistible envie de faire l’amour. Ce mec m’a mis la chatte en feu. Sitôt la porte franchie, je file ...
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