1. Une journée de complicité commence


    Datte: 16/09/2020, Catégories: ff, ffh, fbi, couplus, vacances, Masturbation fdanus, fsodo, coupleà3, Auteur: Caribonex, Source: Revebebe

    ... miel est délicieux, je lèche de bas en haut, aspirant son clitoris, mordillant ses lèvres des miennes, lapant fort puis doucement son intimité, c’est enivrant. C’est très chaud aussi, car je la vois, les yeux clos, les bras allongés, tendus en arrière au-dessus de sa tête, les cuisses ouvertes, la poitrine qui se soulève rapidement. Je vois aussi ma femme qui me regarde et me sourit, la bouche ouverte, qui murmure doucement :
    
    — Encore, encore, lèche-la bien, déguste-la, donne-lui du plaisir.
    
    C’est devenu fou, sensuel. Finalement elle se laisse glisser vers moi, écarte de ses mains les cuisses de notre amie et m’embrasse follement, goûtant sur ma langue le plaisir d’Élodie. Plusieurs fois je vais lécher sa chatte puis partager le fruit de ma récolte d’amour avec ma femme qui, entre chaque attente, me regarde fiévreusement, amoureusement ; des gouttes de suc féminin perlant de sa bouche entrouverte et haletante.
    
    Elle descend encore ses mains, touchant la toison d’Élodie et finit par en écarter les lèvres afin de me donner un meilleur accès à son intimité trempée.
    
    Je ne sais pas, je ne sais plus depuis combien de temps je déguste sa jolie chatte nacrée, mais je sens que son corps se tend, s’arc-boute de plus en plus. Nous entendons ses gémissements toujours plus forts. Je ne peux plus embrasser ma femme, concentré sur le coquillage rose du sexe d’Élodie, même si le visage d’Aline est quasiment collé au mien. Je sens son souffle sur moi et finalement je sens nos nez ...
    ... qui se touchent puis nos langues qui se rencontrent. Aline a craqué pour notre plus grand plaisir et donne de petits coups de langue de plus en plus appuyés sur le clitoris de notre amie. Nos langues humides se rencontrent un peu pendant qu’on lèche, mais c’est surtout car nous nous concentrons sur le même endroit. Le flot de mouille ne tarit pas, on entend vaguement un long cri pendant que sous nos langues le corps se soulève dans un sursaut de plaisir.
    
    On se redresse et on s’embrasse longuement au-dessus du corps alangui de notre complice.
    
    Nos langues se mêlent, le miel du plaisir est savouré longuement, si longuement que l’on sent le corps sous nous bouger, se redresser puis Élodie vient pointer sa langue et participe à notre baiser enfiévré. Les sucs se mélangent, les corps perlent de sueur, je sens une main puis une autre saisir ma verge tendue et la caresser. Une main forte, une main douce qui me font comprendre que chacune me touche en même temps.
    
    On se recule un peu, des fils de salive nous relient encore, témoins de la fièvre, de la force de nos embrassades et Élodie dit :
    
    — Maintenant, je veux que tu me baises.
    
    Aline me regarde et surenchérit :
    
    — Baise-la fort, mon chéri.
    
    Élodie s’allonge sur le dos, les fesses sur l’oreiller, la chatte déjà suintante et prête à me recevoir. Elle est un peu surélevée et je me positionne devant elle. Aline me sourit, attrape ma queue, la fait aller et venir de bas en haut sur la fente brillante d’Élodie qui gémit ...
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