1. Une journée de complicité commence


    Datte: 16/09/2020, Catégories: ff, ffh, fbi, couplus, vacances, Masturbation fdanus, fsodo, coupleà3, Auteur: Caribonex, Source: Revebebe

    ... déjà de ce traitement. Ma femme, guide d’une main ma verge désormais humide dans le con brûlant et de l’autre appuie sur mes fesses pour me faire aller en avant.
    
    Malgré son vagin brûlant, Élodie est étroite et je m’introduis doucement en elle, savourant le contact serré de son intimité.
    
    — Oh, il me remplit. Il est gros, c’est bon.
    — Elle te fait du bien la queue de mon mec, hein ?
    — Oui, c’est boon. J’ai jamais eu une queue pareille en moi.
    — T’en avais envie cochonne ?
    — Je me suis branlée les deux dernières nuits en y pensant.
    
    Évidemment les paroles sont plus décousues, entrecoupées de gémissements qui nous excitent terriblement.
    
    — Elle coule, mon chéri ?
    — Elle est chaude et étroite, sa mouille me coule dessus, j’adore.
    — Attends, je veux goûter.
    
    Je ressors un peu ma queue, juste la place pour laisser Aline mettre un doigt puis le ressortir, le goûter et me le tendre, je suce, je lèche son doigt gluant de la mouille d’Élodie et de sa propre salive.
    
    — Elle a vraiment bon goût, hein ?
    — Délicieuse.
    — Je vous aime… je monte avec… vous… fort… fort.
    — Attends, ma chérie, il va te la mettre fort.
    
    Je me retire de la chatte brûlante :
    
    — Nooon, reviens… gémit la propriétaire.
    
    Aline la fait se tourner sur le ventre, se mettre à peu près à quatre pattes sur l’oreiller, je me place bien derrière elle, puis Aline se colle derrière moi, place ma queue devant l’entrée et me pousse de tout son corps en me tenant par les hanches.
    
    — Ouuuuaaaah, c’est ...
    ... booooon, gémit notre amante.
    
    Je me suis enfoncé d’un coup puissant dans la chaleur d’Élodie et Aline, son souffle dans mon oreille, ne cesse de me dire :
    
    — Vas-y, vas-y, bourre-la, salaud, défonce-lui la chatte. Je veux qu’elle prenne un pied énorme.
    
    Élodie bouge la tête dans tous les sens, son visage est en sueur, elle est vautrée sur le ventre et je donne de grands coups de queue dans sa chaleur, son vagin est brûlant, sa mouille dégouline le long de nos cuisses et je me lâche totalement moi aussi encouragé par les : « Encore ! Encore ! » des deux femmes. Je m’enfonce à fond dans sa chatte, serrant ses hanches entre mes mains, je sens bouillonner en moi.
    
    — Je vais jouiiiiir, crie Élodie.
    — Jouiiiiis, lui répond en écho Aline.
    — Je viieeens ! fais-je à mon tour avant d’exploser dans sa chatte.
    
    Je sens ma queue gicler, gicler encore et toute l’accumulation de la journée explose en feu d’artifice.
    
    Comme un jeu de domino, on s’écroule les uns sur les autres, soudain épuisés.
    
    Au bout d’un long moment, je sens Aline me tirer en arrière et me faire basculer sur le côté, m’évitant ainsi d’écraser trop longtemps Élodie qui n’a pas bougé depuis son cri libérateur.
    
    On reprend doucement notre souffle, nos corps alanguis, mélangés.
    
    Cette fois c’est Aline qui se lève la première et nous cherche à boire. Nous récupérons plus vite qu’Élodie qui en est à trois orgasmes, elle qui se croyait frigide.
    
    Nous le lui disons et elle en rit, preuve que cet épisode dû à ...
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