1. Une journée de complicité commence


    Datte: 16/09/2020, Catégories: ff, ffh, fbi, couplus, vacances, Masturbation fdanus, fsodo, coupleà3, Auteur: Caribonex, Source: Revebebe

    ... forts.
    
    Je suis spectateur privilégie de la montée du plaisir de ces deux sirènes, voir notre amie se lâcher, voir ma femme la précéder sur ce chemin. C’est devenu un séjour de rêve, un séjour de tous les possibles.
    
    Je suis vraiment tendu et c’est difficile de ne pas intervenir, car c’est si beau. Élodie fait toujours plus fort et régulièrement vient sucer son index humide de son plaisir, elle le suce, le lèche puis vient le replonger dans sa chatte, le regard brillant fixé sur Aline qui fait alors de même.
    
    — Tu deviens vicieuse, tu es si belle ainsi, vous êtes si bandantes toutes les deux.
    — Tu n’as encore rien vu, mon chéri. Hein, Élodie ?
    
    Celle-ci ne répond rien, nous regarde, suce bien son index, soulève son bassin, passe sa main sous les fesses et tout en ne cessant de nous fixer, caresse son petit anneau plissé avec son doigt avant de l’y introduire doucement.
    
    — Oh la vicieuse ! marmonne Aline qui fait de même, alors même que je manque gicler tant c’est chargé d’érotisme.
    
    Elles accélèrent le mouvement qui devient de moins en moins similaire, leur plaisir propre prenant le dessus. Élodie se branle frénétiquement, tire fort sur ses tétons et Aline, qui a gardé un doigt entre ses fesses, se touche profondément, plonge et replonge ses doigts dans son entrejambe écarté.
    
    Je contemple et ressens leur plaisir et savoure l’explosion finale qu’elles se procurent dans un grand cri commun.
    
    Ô temps, suspend ton vol…
    
    Je réussis en me contorsionnant un peu ...
    ... à sortir de l’eau, les y laisse reposer pendant que je me sèche puis leur apporte à boire. Leurs regards sont perdus dans leur vague, la chaleur de l’eau et leur orgasme (qui a bien donné la preuve que notre complice n’est pas du tout frigide) font que leurs visages sont tout rouges, perlés de sueur et que leurs poitrines se soulèvent (agréable spectacle évidemment pour un voyeur comme moi) à un rythme encore un peu rapide.
    
    Je les regarde, si sensuelles, me repaissant de la vision de deux jeunes femmes sexy, des seins superbes, des hanches faites pour être saisies, des buissons que je meurs d’envie de déguster.
    
    Finalement, je saisis Aline, la sors, la sèche puis la conduis sur le grand lit où elle s’allonge avant de revenir chercher Élodie à qui j’applique le même traitement. Les deux femmes se sont laissé faire, encore sous l’effet de leur plaisir si intense. Elles me regardent, allongées, offertes, pendant que je suis encore debout, ma verge tendue battant sur mon pubis au rythme de ma marche.
    
    Je m’assieds ensuite au bord du lit et Élodie me dit :
    
    — Il faudrait qu’on s’occupe de toi.
    — C’est très plaisant d’entendre cela, mais pour le moment, mon plaisir est de te donner du plaisir.
    — Oui, confirme Aline, on veut te voir repue d’orgasmes, pantelante, trempée, baisée à n’en plus pouvoir.
    
    Je me penche alors sur Élodie et après un dernier regard à ma femme si complice qui est allongée à côté d’elle, commence à plonger ma langue dans sa petite chatte.
    
    Son ...
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