Au crépuscule des fantasmes - Histoires de Sexe

Au crépuscule des fantasmes

... glissai dans son vagin avec frénésie. Franck, à genoux à côté d’elle lui suçait violemment les tétons pendant qu’elle le branlait avec vigueur. Elle se pencha brutalement sur moi et dit à son mari :

— Viens mon amour, viens, c’est le moment que j’attends depuis si longtemps, viens me prendre, entre dans mon petit cul.

Afin de le dilater, elle avait introduit ses doigts humides dans son anus puis y guida la verge de son mari. Je sentis à travers la mince paroi de chair la pression sur ma bite. Jane poussa un long râle, m’embrassa comme une possédée, inondant mon visage de larmes.

— Oh que c’est bon, mes amours, je vous sens, vous êtes en moi, je vous sens dans mon ventre, allez-y, plus fort, je me sens si femme.

Jane continuait à délirer tandis que nous pistonnions son corps brûlant comme des forcenés. Soufflant comme une forge, Franck me proposa de prendre sa place. Je ne pus m’empêcher d’être surpris.

— Si je continue encore une minute, je vais jouir, son cul est si serré. Viens, remplace-moi.
— Oh oui, encule-moi toi aussi puisque Franck le demande, j’ai envie de te sentir, dilate-moi, fais de moi ce que tu veux, rajouta Jane, le visage rougi par l’effort et le plaisir.

Franck se sortit, Jane se tourna et s’assit sur moi. D’une main experte, elle glissa ma verge dans son anus et je m’enfonçai sans peine. C’était bien plus serré que le vagin et les sensations ressenties étaient bien plus « perverses ».

Franck, se caressant la bite, admirait son ...

... épouse ainsi prise qui lui rendait bien en montant et descendant lentement sur le membre qui la labourait.

— Ce que tu es belle, mon amour, il te fait du bien, hein, ce petit salaud ? Il rentre profond. Écarte tes lèvres, entre des doigts dans ta chatte. Tu es fascinante quand tu es chienne.
— Viens que je te suce un peu avant que tu me prennes, répondit-elle avec gourmandise.
— Tu veux que je me nettoie ?
— Non, viens, viens vite. Rien n’est sale dans l’amour.

J’assistais à ce jeu amoureux entre deux personnes qui se connaissaient si bien, mais qui se découvraient comme de jeunes amants aux fantasmes inassouvis. Ma présence révélait leur véritable nature, sans fard, sans tabou, sans réserve, sans pudeur. Je me sentais à la fois voyeur et fier. Moi aussi, je faisais et disais des choses que jamais je n’aurais osées avec Nicole, mon épouse. Nous étions tous les trois dans une autre dimension, où le désir avait pris le pas sur la raison, où les vannes de la bienséance avaient explosé.

Jane, toujours puissamment sodomisée, mit ses mains en arrière et je pus ainsi libérer une des miennes qui soutenait son dos pour la glisser jusqu’à son anneau exagérément dilaté. Je voulais m’assurer que je ne rêvais pas et que j’avais bien ma bite au fond de la femme qui avait élevé ma compagne. Non, je ne rêvais pas. Je tentai de mettre un doigt dans l’anneau, mais la pression était trop forte. Franck, après s’être une nouvelle fois fait sucer par la bouche vorace de sa femme, vint se ...