Au crépuscule des fantasmes - Histoires de Sexe

Au crépuscule des fantasmes

... de menton, il me signifia de faire de même et je m’exécutai, partagé entre la honte et l’envie.

Jane d’une main douce, soupesa délicatement mes bourses, regarda son mari qui lui dit « Vas-y ma belle, fais-toi plaisir » et elle glissa mon membre gonflé entre ses lèvres entrouvertes. Objectivement, elle me prodigua une fellation infernale. Elle restait au niveau du gland, mais aspirait si fort que j’étais partagé entre douleur et bonheur absolu. Elle s’amusa ensuite à essayer d’engloutir nos deux bites en même temps. C’était la première fois de ma vie que mon sexe entrait en contact avec un autre sexe d’homme et ma gêne immédiate s’estompa quand je vis le regard gourmand de Jane qui jouait avec ces deux virilités dressées qui rendaient hommage à sa sensualité.

Elle changea de position, se mit à quatre pattes sans que sa bouche avide ne me lâche et Franck vînt se placer derrière elle, pour lécher son sexe. Elle grognait son plaisir, la bouche pleine.

— Plus doucement Jane, sinon, je vais venir dans votre bouche, vous me sucez trop bien, soupirai-je.

Ma phrase eut l’effet inverse et elle m’avala de plus belle, coulissant maintenant sur toute la longueur de ma verge.

— On change de place ? proposa Franck.

Et sans attendre ma réponse, Jane fit un demi-tour sur le lit. Je me retrouvai face à ses fesses blanches, les écartai dévoilant un anus rose troublant et des lèvres humides ouvertes sur un orifice vaginal vertigineux. Je plongeai mon visage et dégustai ses ...

... orifices avec avidité. Avec curiosité et malice, je tentai du pointu de ma langue une profonde feuille de rose.

Jane accélérait maintenant ses mouvements de balancier et son mari commença à haleter sous l’effet d’une fellation sauvage.

— Je vais jouir, je vais jouir, hurla-t-il à son épouse. Je peux pas tenir, c’est trop bon de te voir te faire bouffer le cul.

Il prit sa verge en main et arrosa le beau visage de Jane, laissant d’épaisses coulées de sperme jusqu’aux cheveux, sur les lunettes et évidemment dans la bouche.

Jane se mit à rire, ce qui interrompit mon léchage.

— Eh bien, mon chéri, cela faisait longtemps que tu ne m’avais pas honorée autant. Excusez-moi les garçons, mais je vais prendre une petite douche, parce que j’en ai pas encore fini avec vous.

Se tournant vers moi, elle me fit un clin d’œil et se leva d’un bon pour s’éclipser dans la salle de bain. J’angoissai à l’idée de rester seul, nu, le sexe dur, sur le lit avec Franck, mais ce dernier, peut-être aussi gêné que moi, se leva pour chercher une bouteille d’eau dans la cuisine.

Depuis la salle de bain, Jane m’appela.

— Tu veux bien me passer la serviette, s’il te plaît.

Elle était là, ruisselante, désirable, souriante, se remettant les lunettes.

— Dis-moi franchement. Tu veux continuer ?
— Mais Jane, mais bien sûr !
— Je te dis cela parce que tu n’as plus l’air vraiment excité, rajouta-t-elle en désigna mon sexe qui avait repris des proportions normales.
— Cela dépend de vous, ...