Au crépuscule des fantasmes - Histoires de Sexe

Au crépuscule des fantasmes

... Jane.
— Tu sais, ce que tu m’as fait tout à l’heure, avec ta langue, dans mon petit trou, c’était nouveau pour moi, et c’était, comment dire, agréablement puissant. Tu le fais à Nicole ?
— Je vous l’ai dit, je ne préfère pas parler de Nicole, cela me gêne, pour elle, pour moi.
— Je comprends, je comprends.
— Je peux juste vous dire qu’elle n’aime pas trop cela.
— Elle a bien tort. C’est divin de ce côté. À propos, il faut que je te dise quelque chose. J’espère, j’ai envie, je rêve que tout à l’heure vous soyez Franck et toi tous les deux en moi, et Franck, il n’aimerait pas que tu prennes mon petit trou, tu comprends. Il considère que c’est un peu le privilège du mari en quelque sorte.
— D’accord, je comprends, je ferai attention, répondis-je avec une pointe de frustration.
— Mais tu peux y mettre ta langue et tes doigts. Il ne m’a rien interdit là-dessus.

Cette petite discussion m’avait de nouveau excité et c’est maintenant au garde-à-vous que je me tenais face à Jane. Elle me guida par le sexe jusqu’à la chambre. Dans le couloir, je caressai son corps filiforme. Bien sûr, elle n’avait pas la fermeté d’une jeune fille et sa peau n’avait plus la teinte uniforme de ses vingt ans, mais l’onctuosité moelleuse de ses chairs et la transparence diaphane de sa carnation lui donnaient une fragilité émouvante.

La pièce, réchauffée par les rayons obliques d’une matinée d’été, sentait encore la lourde et capiteuse odeur de l’amour. Franck n’était toujours pas là. Elle ...

... s’assit sur le bord du lit, les jambes écartées et approcha ma virilité jusqu’à sa bouche. Penchée en avant, elle lécha ma verge, tritura mes bourses, aspira mon gland.

— Je serai plus à l’aise comme ça, me dit-elle en s’accroupissant au pied du lit, je t’ai maintenant à hauteur du visage. Tu as un si beau sexe, si long, si gros.

Jane reprit une fellation endiablée puis me repoussa gentiment.

— Tu me trouves comment ?
— Impudique, répondis-je.

Son visage se ferma et un perceptible mouvement des genoux resserra ses cuisses largement ouvertes.

— Tu me trouves indécente, c’est ça ? Tu trouves que je suis vulgaire ?
— Non Jane, j’aurais dû dire délicieusement impudique, excitante, naturelle, sauvage, animale. J’ai envie de vous prendre de partout, d’entrer en vous avec violence. Vous déclenchez en moi des pulsions que je n’imaginais pas. Quand je vois votre sexe grand ouvert, j’ai l’impression qu’il palpite et qu’il m’appelle.
— Eh bien, viens l’honorer, il n’attend que toi.

Je m’allongeai sur le tapis et glissai ma tête sous ses fesses. Toujours accroupie, elle s’asseyait sur moi et je pus à loisir introduire ma langue dans ses trous.

Franck entra dans la chambre.

— Je vois que vous ne m’avez pas attendu.
— Viens, viens mon amour, j’ai envie de sentir ta bite grossir dans ma bouche.

Nous restâmes de longues minutes ainsi jusqu’à ce que Jane nous supplie de venir en elle.

Je m’allongeai sur le lit et elle vint sur moi, en cavalière qu’elle était. Je ...