Le cheminement
Datte: 07/09/2020,
Catégories:
fh,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
pénétratio,
fdanus,
sm,
ecriv_f,
Auteur: Isilwen, Source: Revebebe
... de ses paroles :
— J’ai envie de toi, d’arracher tes habits qui te cachent à ma vue. Je veux te prendre, être au fond de toi, goûter ton jus, laisse-moi lécher ta chatte pendant que tu cherches, s’il te plaît…
Il avait commencé à s’agenouiller et à remonter son manteau et sa jupe. Marion allait céder, prise de colère de ne pas pouvoir ouvrir son appart, de se dire qu’ils allaient baiser là, sur le pallier, pour la joie des voisins, alors qu’à un mètre d’eux son lit les attendait. Sentant la bouche de Raphaël en haut de ses cuisses, elle eut un sursaut, et la porte daigna s’ouvrir enfin, les laissant s’étaler dans l’alcôve.
Marion était tombée à plat ventre, lui sur elle. Raphaël roula sur le côté et s’assura qu’elle ne s’était pas fait mal. Elle resta un instant dans cette position, le front sur les tomettes froides. Oui, c’était bien ça, elle avait envie d’être prise comme ça, par terre, seulement la jupe troussée sur les reins. Mais non, le lit serait plus confortable. Il la mangeait littéralement de baisers. Les vêtements volèrent à mesure qu’elle le conduisait dans sa chambre. Tous deux étaient en sous-vêtement quand elle alluma sa lampe de chevet : elle comptait bien prendre le temps de détailler son corps avant d’écarter les cuisses.
Raphaël avait les cheveux en bataille, le boxer gonflé par sa queue, et les muscles, bandés de même, étaient superbes. Marion en saliva d’avance. Elle ôta elle-même son soutien-gorge et sa petite culotte qui collait un peu à ...
... son sexe trempé, tandis qu’il se caressait à travers son boxer avec un regard gourmand. Ce début de masturbation lui donna une idée.
— Tu voulais que je te raconte comment je m’étais branlée hier soir ? lui demanda-t-elle.
— Oui, j’adorerais.
— Alors regarde.
Et, se mettant à plat ventre comme la veille, elle se frotta contre la couverture, tandis que Raphaël, à l’autre bout du lit, sortant sa queue, se branlait doucement en commentant la scène :
— Oh, Marion… Tu es si… chienne ! J’adore ça ! Arrête, tu me mets à la torture, je ne voudrais pas partir dans ma main… Depuis hier, ma bite est gonflée et je ne l’ai pas soulagée !
— Enfile une capote, lui demanda-t-elle.
Il bondit pour aller jusqu’à sa veste, qu’il eut quelque mal à trouver. Il revint avec deux préservatifs :
— Je n’en ai que deux…
— Alors, il va falloir les faire durer…
Déchirant délicatement l’emballage, il s’en coiffa rapidement, sans débander. Elle s’avança vers lui et lécha ses lèvres puis descendit vers son torse musclé, sur ses tétons, mordillant ses muscles saillants, laissa glisser sa langue sur les contours de ses abdos. Arrivée à l’aine, elle frotta son visage contre la peau, si tendre à cet endroit. Elle adorait cette partie du corps des hommes : les muscles dessinent comme un entonnoir vers le pubis, la verge. Elle n’avait cependant pas même frôlé sa queue, et les mains de Raphaël, dans ses cheveux, trahissaient son impatience. Elle se releva et se plaça à cheval sur lui.
— ...