Le cheminement - Histoires de Sexe

Le cheminement

... sentit enfin son sperme remonter de ses couilles énormes vers son gland qui cognait dans le fond du vagin. Une délicieuse brûlure qui le fit grogner.

— Oui, salope, je jouis… Je lâche tout… Tiens ! Prends ça, t’aimes ça, que je lâche mon sperme, hein ?

Marion s’agita encore un peu sur cette queue, pour en tirer le maximum, comme si elle aspirait avec sa bouche les dernières gouttes de foutre. Ils roulèrent dans le lit, en sueur, épuisés. Marion couvrit ses épaules de baisers, lécha la sueur au goût étrangement doux qui couvrait son torse. Il remonta le drap sur elle :

— Tu me donnes une petite seconde ? Je reviens tout de suite.

Il partit enlever sa capote avant que l’érection ne retombe totalement. Regardant la quantité de foutre qu’elle contenait, il rit, tout en revenant vers le lit.

— Ma belle, si tu avais vu ! Tu m’as vidé les couilles !
— Déjà ? lui répondit-elle.
— Plutôt « pour l’instant »… T’en veux encore, ma cochonne ?
— Oui, mais je ne pourrais plus, j’ai l’impression d’avoir les jambes brisées : impossible à écarter !

Ils rirent de bon cœur.

— Je t’avoue que garder une capote trois heures est assez désagréable, et ma queue ne serait pas contre un peu de repos non plus !
— Moi, j’ai l’impression que ta bite est encore dans ma chatte, de ce qu’elle est encore ouverte ! Mais c’était génial, on remet ça quand tu veux !
— Merci du compliment. Ce fut un délice pour moi aussi. Je n’avais jamais dominé une femme comme ça auparavant et ça me donne des idées.

Paroles qu’il agrémenta d’un regard fort coquin, avant de lui demander si elle avait un fantasme à réaliser. Marion tendit la main vers la lampe de chevet. Dans le noir, elle lui souffla :

— Ça, c’est une autre histoire !