Le cheminement
Datte: 07/09/2020,
Catégories:
fh,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
pénétratio,
fdanus,
sm,
ecriv_f,
Auteur: Isilwen, Source: Revebebe
... la prit dans ses bras.
— J’aime que tu te donnes à moi comme ça. Mais je n’aime pas faire mal. Tu n’étais pas assez ouverte.
Marion l’embrassa dans le cou, sur les épaules, encore bouleversée de la douleur à laquelle elle s’était préparée. Il la serra fort contre lui, mais il reprit :
— Je ne sais pas ce que tu en penses, mais j’ai la queue gonflée et toujours envie de te tringler comme une chienne.
À ces mots, Marion passe sa jambe sur la hanche de Raphaël, amenant l’entrée de sa chatte vers son gland.
— T’attends quoi alors ?
Ils se regardèrent encore un instant. Ils étaient devenus des amants complices.
— Mets-toi sur le dos et relève tes jambes, je veux voir à quel point tu es ouverte.
Marion obéit avec une sorte de joie au fond du cœur. Encore plus excitée que tout à l’heure, sur le dos, elle prit ses genoux dans ses mains et s’ouvrit largement. Il se plaça entre ses cuisses, la queue à la main, se branla doucement.
— Je veux ta queue ! lui dit-elle.
— Dis-le mieux que ça !
— Baise-moi !
— Tu brûles… Allez, libère la panthère lubrique qui est en toi !
— Enfonce ta bite dans ma chatte, fouille-moi ! Fais-moi hurler de plaisir ! Salaud, défonce-moi le minou !
— Voilà, on y est… Ça t’excite de parler comme ça, ma salope ?
— Oui, oh putain, j’en peux plus ! Je mouille tellement que j’en ai plein la raie du cul ! Enfile-moi ta queue !
Marion soulevait son bassin dans l’espoir d’arriver à s’empaler sur sa bite, tendant son sexe vers ...
... lui. D’une main ferme, Raphaël plaqua son ventre au matelas. Approchant alors sa queue, il se mit à caresser, du bout du gland, l’entrée du con trempé. Le contact les électrisa autant l’un que l’autre. Il serra les dents pour ne pas gicler, elle empoigna les draps. Le corps totalement cambré, elle ne sentait plus que le contact sur ses grandes lèvres, elle ne pensait plus à rien sauf à cette bite qu’elle voulait en elle.
Mais, calmement, Raphaël ne cessait de monter et descendre du bout du gland, restant à l’entrée. S’enfonçant très légèrement entre les petites lèvres, il la faisait crier. Marion était à demi consciente, toute à ses sensations sur son sexe. Ainsi, en elle, il commença à remonter tout doucement vers son clitoris. Il aimait presser son gland contre son clitoris si gonflé, comme une verge minuscule. Marion ressentit ces pressions comme des coups dans les reins, c’était une insupportable torture, elle en mordait l’oreiller en gémissant.
— Abandonne-toi ma belle… lui souffla son amant à l’oreille.
Mais Marion n’était plus capable de répondre. Elle avait cessé de s’agiter sur sa queue, attendant son bon vouloir. Les rôles de départ étaient inversés, Raphaël avait gagné. Le gantier se recula pour la regarder : un spectacle magnifique s’offrait à lui. Marion, les cuisses écartées, les seins gonflés, la chatte ouverte, avait les yeux fermés. Elle mâchonnait la taie d’oreiller comme elle eût suçoté sa queue, en ronronnant comme un chat. Il se coucha sur elle, ...