Le cheminement - Histoires de Sexe

Le cheminement

... l’embrassa dans le cou et, d’une main, il guida sa queue vers sa chatte. Il était en elle, dans sa chatte serrée, c’était comme une victoire sur un adversaire qu’on aimait. Marion gémit de se sentir emplie, enfin.

Il commença alors à aller et venir, et sortit Marion de sa torpeur. Rapidement, elle l’enlaça de ses bras, de ses jambes. Avec ses talons sur les reins du gantier, elle imprima un rythme. Il était en elle, puissant. Sa queue ramonait son vagin. Il entrait loin, élargissant ses parois vaginales, il buta contre le fond de sa chatte et réveilla sa rage de sexe.

— Baise-moi plus loin… Viens au fond de ma chatte ! dit-elle à mi-voix.
— C’est si bon d’être enfin en toi !

Il se mit à genoux et l’attira sur lui. Telle une amazone, elle le chevauchait maintenant profondément :

— Vas-y, empale-toi sur ma queue ! C’est bon… Tu aimes ça, hein ?
— Oh oui, depuis le temps que tu me fais attendre ! Salaud ! Tu sens comme je suce ta queue avec ma chatte ?
— Une vraie salope… Putain, tu me fais bander à parler comme ça ! Mets-toi ma queue bien au fond de ta chatte !

Marion s’appuya de tout son poids sur cette queue qui la transperçait presque.

— Regarde ! lui dit-elle, ta queue dans ma chatte fait gonfler mon bas-ventre !
— Tu l’aimes, ma grosse queue, hein ? répondit le gantier, dont le souffle s’accélérait.
— Hum… Elle est large et longue, un vrai bonheur de se faire fourrer comme ça !

Il la prit par les hanches pour accélérer le rythme.

— Je ne ...

... vais pas tarder à jouir…

Elle attrapa Raphaël par les cheveux et plaqua son visage sur ses seins :

— Bouffe-moi les nichons aussi !

Il s’exécuta en grognant de plaisir.

— Lèche mon doigt, lui dit-il après un court instant.

Ce qu’elle s’empressa de faire. Plaquant alors sa main sur la raie de son cul, dans une claque, il chercha son anneau.

— Salope comme tu es, ça va te faire grimper au rideau, de prendre en plus un doigt dans le cul, non ?

Elle accueillit ce nouvel hommage avec un grognement. Elle se sentait subitement prise par tous les trous. Elle gémissait, criait son plaisir :

— Ah… C’est trop bon ! Ta bite dans ma chatte et ton doigt dans mon cul ! Accélère, encule-moi ! Mets-moi un deuxième doigt ! Oh, oui, oui, comme ça… Hum… C’est serré, mais c’est bon… Tu sens ta bite à travers mon cul, hein ? T’aimes ça, me baiser par tous les trous, hein ?
— Putain, tu me fais monter, une vraie salope… T’en veux toujours plus, c’est ça ? Vas-y : jouis, je vais venir… Je sens que je ne vais pas tarder à gicler dans ta petite chatte !

Marion sentit monter l’orgasme comme une vague gigantesque, sa chatte, son cul furent envahis d’une chaleur intense et elle libéra la vague en un premier grognement de fauve, long, puissant comme son orgasme, qui lui arracha les cordes vocales.

— Ah, oui ! Ça y est ! Je jouis ! Oh, c’est bon ! Hum ! Viens toi aussi, lâche ton foutre dans mon con !

Raphaël jouit en mordant les seins qui étaient à portée de sa bouche. Il ...