La soirée qu'il ne fallait pas rater
Datte: 05/09/2020,
Catégories:
fh,
rousseurs,
Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
... voudriez bien en savoir plus. Je vous dirai simplement qu’elle fut douce, pleine de tendresse, de promesses, de caresses. Nous nous sommes donné rendez-vous chez moi le lendemain, dès qu’elle serait libre. Les préparatifs du week-end ont occupé ma soirée.
Le samedi matin, je me suis réveillé vers les huit heures ; douche, toilette, rasage etc., etc. Vers dix heures, le téléphone a sonné. Lorsque j’ai entendu sa voix, j’ai cru que tout était remis en cause, imaginant un crime sordide ou une affaire ténébreuse qui la bloquait sur place. En fait, rien de tout ça : elle avait réussi à s’arranger pour être libre dès maintenant, mais elle ne pouvait quitter les environs avant l’heure officielle de fin de son service.
— Je t’attends ; viens tout de suite.
— J’arrive.
En fait, cela ne changeait rien à mes préparatifs. Simplement, nous allions déjeuner un peu plus tôt, et nous partirions dès midi sonnant. Enfin, c’est ce que je croyais.
Elle est arrivée peu de temps après. Elle n’a même pas attendu que je vienne lui ouvrir la porte, et s’est jetée dans mes bras en riant.
— Embrasse-moi, vite, je deviens folle.
— Crois-tu que je n’en ai point envie ?
J’ai reçu dans les bras et contre moi 65 kg de chaleur douce et élastique. Nos lèvres se sont trouvées de suite, nos mains ont elles aussi retrouvé les chemins découverts il y a une semaine ; et avant même d’avoir repris notre souffle, l’un poussant, l’autre tirant, nous nous sommes retrouvés sur le lit dans la ...
... chambre. Assise à califourchon sur mon ventre, sa jupe en jean remontée jusqu’à la taille, elle me tient les deux poignets et m’empêche de bouger comme je le voudrais.
— Chut, on ne bouge plus et on laisse faire la dame. D’accord ?
— Mais…
— Y’a pas de « mais » qui tienne : c’est moi qui dit, c’est tout. Tu ne bouges plus.
— Bon. Puisque ce que femme veut, Dieu le veut…
Elle m’a alors lâché les poignets et s’est redressée. Une fraction de seconde, j’ai cru voir son ventre nu, mais ce n’est pas possible, j’ai dû rêver. Toujours assise, elle se redresse et déboutonne sa chemise, offrant à mes regards ses seins pleins et fermes. Puis elle se penche vers moi, me reprend les poignets et, après avoir fermé mes yeux de deux baisers, elle entame sur mon visage une série de caresses avec ses seins. C’est une sensation merveilleuse que sentir le poids de ces deux globes et leur douceur sur mes joues, sur mon front et mes lèvres. Lorsque les tétons passent à portée de ma bouche, je tente bien de les attraper et de les caresser du bout des lèvres et des dents ; mais, comme le mercure dans une soucoupe, ils sont insaisissables, et à peine localisés sont déjà partis ailleurs. Elles deviennent de plus en plus dures, ces pointes qui délicatement et délicieusement labourent mon visage. Les caresses sont aussi plus appuyées. Son souffle devient plus court, et ce n’est pas que la position qui en est cause. Je sens bientôt ses lèvres sur les miennes, qui chuchotent en forme de baiser :
— Ne ...