1. La soirée qu'il ne fallait pas rater


    Datte: 05/09/2020, Catégories: fh, rousseurs, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... bouge surtout pas ; reste les yeux fermés.
    — Promis.
    
    Elle se redresse puis je sens ses doigts agiles qui défont les boutons de ma chemisette. Ses mains s’engagent sous le léger vêtement et caressent ma poitrine et mon estomac. Elle a une science de l’amour et des caresses qui mériteraient une agrégation, si c’était une matière enseignée dans les écoles. (Pourquoi cela ne l’est-il pas, du reste ?). Les caresses qu’elle me prodigue sont alternativement douces et tendre, irritantes quand ce sont les ongles qui frôlent ma peau, légères quand elle aborde une zone pour la première fois, plus appuyées quand un tressaillement lui signifie que la zone est sensible. Elle bouge légèrement son bassin, amenant son entrejambe au contact de ma peau. Le premier contact est soyeux, le second chaud et humide.
    
    — Tu n’aurais pas, par hasard, oublié quelque chose en te changeant tout à l’heure ?
    — Eh non, ce n’est pas un oubli. J’étais tellement pressée d’arriver que j’ai sauté l’étape sous-vêtements : j’aurais perdu trop de temps pour rien puisque tu me les aurais enlevés. Tu sens comme j’ai envie de toi ? Et toi, tu as envie ?
    
    En disant cela, elle se tourne légèrement, et de sa main – décidément très habile – elle entreprend de défaire la ceinture de mon pantalon. Le bouton ne résiste pas très longtemps, juste un peu pour la forme et joue rapidement « ville ouverte ». Le combat d’arrière-garde de la braguette ne dure pas plus longtemps. Sans perdre de temps, elle glisse sa main ...
    ... douce et chaude dans mon caleçon, franchissant ainsi en grande gagnante le dernier obstacle.
    
    — Exactement comme dans mes souvenirs… soupire-t-elle avec un petit sourire tendre au coin des lèvres.
    — Tu m’en vois ravi.
    — Ne bouge pas ; laisse-moi faire.
    
    Elle se redresse, change complètement d’orientation, sa tête tournée vers le triomphant objet de ses désirs et m’offrant une vue plus que rapprochée sur son sexe. Il manifeste sans erreur possible l’état dans lequel elle se trouve. Les grandes lèvres forment une draperie longue et fine qui déborde largement leurs deux sœurs plus petites. Rose pâle sur une partie de leur surface, elles sont bordées d’un liseré brun soutenu qui part en dégradé vers leurs attaches. En haut, on voit nettement le capuchon qui ne cache plus du tout le clitoris long et assez épais. Dans la faible lumière qui traverse les rideaux de la porte-fenêtre, ce petit joyau brille doucement. Un filet cristallin au bout duquel pend une goutte claire comme un diamant de l’eau la plus pure descend lentement vers moi. Je ne peux résister au plaisir de le saisir du bout de la langue. Puis, dans le même mouvement, je reviens à la source, et là je touche le bord des lèvres et en redessine le contour avec ma langue. La réaction ne se fait pas attendre : elle écrase son sexe sur ma figure, et le simple effleurement de ses lèvres qu’elle appliquait sur mon gland se transforme en une prise en bouche gloutonne. Elle relève juste la tête pour protester :
    
    — Je t’avais ...
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