Les bûcheronnes
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
Hardcore,
BDSM / Fétichisme
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... Rien que les regarder me fait bander, quoi qu’il arrive : ce sont des œuvres d’art que je m’apprête à massacrer soigneusement.
Pour commencer, j’arrache les ongles, puis, équipé d’un petit couteau de cuisine bien affûté, je les dépiaute comme des oignons, jusqu’à ce que la chair soit à vif. La lame pénètre à l’intérieur, arrache des lambeaux de muscle et frotte contre les nerfs. On commence à voir les os émerger sous des filets de sang. N’importe qui deviendrait fou de douleur, voire s’évanouirait. Mais Gûh n’émet même pas un gémissement, alors que ses petons, naguère si jolis, ne sont plus que des appendices sanguinolents et misérables. Même si elle parlait, elle ne pourrait plus jamais marcher. Je réalise à présent mon erreur : les Amazones ne sont pas des femmes ordinaires. Elles sont taillées pour la chasse, pour le combat, pour la guerre. Depuis toutes petites, on leur a appris à mépriser la douleur. Leurs mères les ont endurcies, bien plus que n’importe quel soldat. En conséquence, il est impossible de supplicier une Amazone pour lui arracher un renseignement. Peut-être en torturant l’une pour faire parler l’autre ? Mais je me verrais mal affronter seul les deux geôlières en même temps, même armé. Et puis, c’est trop tard : Tah git dans un coin, face contre terre.
Je me prépare à poursuivre malgré tout cette boucherie, sans trop y croire. Au moins, j’y trouve de l’excitation sexuelle, me découvrant une cruauté que je ne me connaissais pas. Il est vrai qu’un ...
... monstre sommeille en tout être humain : il suffit, pour le réveiller, que les circonstances s’y prêtent. Témoin : un phallus dur comme jamais. Tiens, si je la violais ? Peut-être que son cœur de lesbienne n’y résisterait pas et qu’elle parlerait ? D’ailleurs, contrairement à Tah, je ne l’ai jamais vue s’enfoncer un gode par devant : l’Amazone serait-elle vierge ? Je vérifie avec les doigts : exact, l’hymen est en place. Une petite séance de dépucelage obligatoire est en vue.
Étrangement, je ne parviens pas à la pénétrer : flanelle devant l’orifice. Je n’ai tout simplement pas l’âme d’un violeur, et la haine que j’éprouve n’y change rien. Gûh rigole devant ce manque de virilité. Elle se moque de mon pénis flasque. Mais dans sa joie, elle semble regarder derrière moi. Une intuition me met en alerte. Je me retourne et découvre Tah en train abattre sa hache dans ma direction. Je croyais l’avoir tuée ; la balle lui a arraché l’œil gauche et traversé le crâne. De l’orbite vide s’écoule de la matière cervicale sanglante et gluante. J’ai juste négligé qu’il en faut plus pour occire une Amazone. Maintenant, elle est revenue à elle et plus combative que jamais. Elle frappe de toutes les forces qui lui restent : considérables ! Alors que la lame d’acier traverse l’air dans ma direction, j’ai juste le temps de me jeter de côté pour ne pas être fendu en deux comme un vulgaire rondin de bois. Dans son élan, la hache atteint le bassin de Gûh qui ne peut rien éviter, étant attachée. Son bassin ...