1. Les bûcheronnes


    Datte: 04/09/2020, Catégories: Hardcore, BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... rien gaspiller. J’écoute le chant des oiseaux pour savoir s’il va pleuvoir, et les couleuvres viennent se lover dans mes bras nus. La ville dans laquelle j’habitais avant me semble à des années-lumière d’ici. Un matin, deux gendarmes qui patrouillent dans la forêt et n’ont pas perdu espoir de me retrouver après ma disparition font irruption au cours d’une séance d’entraînement au tir à l’arc. En les voyant alors que je cours récupérer les flèches après un tir, je pousse un cri de surprise.
    
    Le temps d’un battement de cœur, les images presque oubliées de ma femme et des enfants se succèdent dans mon esprit. Juste un spasme de la mémoire. Une seconde plus tard, les deux hommes des forces de l’ordre ont chacun la poitrine transpercée d’une flèche, de part en part. Ils succombent sans un cri, les yeux écarquillés. Nous aurons de la viande à manger, ces prochains jours.
    
    Gûh m’ordonne de déshabiller les corps avant qu’ils se rigidifient, de les laisser au frais dans la réserve, et d’enterrer les vêtements. En creusant un trou pour enfouir les uniformes, je me rends compte que les ceinturons sont toujours garnis des armes de services : deux Tasers et deux pistolets chargés. Les Amazones ignorent tout simplement l’usage de ces instruments. Ou bien elles ont oublié que les gendarmes, comme leur nom l’indique, ont des armes. Je vais le leur enseigner sans plus tarder, car je sais m’en servir depuis que j’ai effectué mon service militaire.
    
    Je retourne dans la tanière et, dès ...
    ... que je me trouve face à Tah, je l’abats immédiatement d’une balle dans la tête, sans sommation. Gûh comprend son erreur et se met à genoux en signe de reddition. Puisque j’ai tué sa compagne de toujours, elle accepte de mourir, mais avec panache : elle veut me regarder droit dans les yeux au moment où je la tue. J’aurais volontiers procédé ainsi, mais auparavant, il me faut savoir où est Lila afin que je puisse aller la secourir sans délai. Gûh refuse de le dire. Une Amazone ne trahit pas une autre Amazone. J’utilise le Taser pour l’étourdir – il me faut les deux Tasers, car elle est très résistante aux décharges électriques – puis je l’attache sur la table de la cuisine, et je lui arrache ses vêtements.
    
    Une nouvelle fois, j’exige de savoir où Lila et mon fils se trouvent détenus. Gûh se contente de rire. Que dois-je faire ? Courir dans n’importe quelle direction jusqu’à la première maison où je téléphonerais aux gendarmes ? Même si j’enchaîne Gûh, elle parviendrait à se libérer avec sa force herculéenne, et elle retrouverait ma trace en m’attaquant au moment où je m’y attendrai le moins. Ou pire : elle vengerait sa compagne sur Lila et Marc. Pas question. Quant à m’embarrasser d’une prisonnière au milieu de la forêt, je ne m’en sens pas capable.
    
    Alors, tant pis pour elle. Bien que cela me répugne, je vais la torturer, aidé par la haine que je ressens envers elle. Les beaux pieds, immenses comme des paquebots, que j’ai tant aimé caresser et humer, vont subir ma colère. ...
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