Les bûcheronnes
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
Hardcore,
BDSM / Fétichisme
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... se brise, dans un craquement d’os sinistre, révélant l’utérus et la vessie. Cela lui fait une belle fente vulvaire, maintenant. Mais l’accident ne lui arrache même pas une plainte. Juste un « merde », parce que Tah m’a raté de très peu.
Les pistolets et les Tasers ne sont malheureusement pas à portée de mes mains. Reste l’autre hache dont je saisis le manche, fébrile. Le combat s’engage, à armes égales, sans merci, à mort. Jamais je n’aurais imaginé devoir me batte à l’arme blanche. En temps normal, je n’aurais aucune chance face à une Amazone bucheronne. Mais le fait qu’elle soit blessée rétablit un semblant d’équilibre. De plus, Gûh encourage Tah et lui donne de précieuses informations pour compenser la réduction de son champ de vision. La masse d’acier coupant file à toute vitesse et j’éprouve des difficultés à éviter les coups. Plusieurs fois, il s’en faut de peu pour que je finisse le crâne fendu. J’endure quelques estafilades sur le torse et les bras, impressionnantes, mais sans réelle gravité. L’adrénaline efface toute douleur. Il me faut absolument reprendre l’initiative.
Je tente le tout pour le tout : je me jette en avant et balance ma hache horizontalement, afin de couper les jarrets d’Amazone. Celle-ci saute pour éviter la lame, mais pas assez haut : elle a un pied tranché au niveau de la cheville. Elle tombe et ne peut pas se relever. Prudemment, je parviens à lui arracher son arme des mains. Elle s’attend à ce que je l’achève. Mais je me contente de ...
... lui passer le collier de fer autour du cou, de l’enchaîner à l’anneau rivé dans le sol qui m’a tant fait souffrir, et de lui faire un garrot à la base du mollet pour qu’elle ne perde pas tout son sang.
Il me faut absolument trouver une idée pour les obliger à me révéler où habitent les deux autres Amazones qui ont acheté Lila et Marc. Les idées les plus démentes parcourent mon esprit à la vitesse de la lumière. Un rat court sur le sol et passe entre mes jambes. Cela me donne une idée diabolique. Militer dans une association pour l’abolition de la torture partout dans le monde m’a fourni des informations dont j’ignorais l’utilité.
D’abord, j’apprivoise le rat avec un peu de nourriture – le pied coupé de Tah fait l’affaire - et je l’enferme dans un sac. Avec des morceaux de bois récupérés ici et là, un marteau et des clous, je construis une petite cage à laquelle il manque un côté. Je pose la cage sur l’abdomen de Gûh qui est toujours attachée sur la table de la cuisine, côté manquant vers le bas, avec le petit a****l à l’intérieur. Un rat est intelligent : il ne tardera pas à découvrir que la seule façon de s’échapper est de creuser un tunnel avec ses dents… à travers les viscères de la victime. C’est, paraît-il, le supplice le plus cruel jamais inventé par l’homme, à l’imagination pourtant fertile dans ce domaine. Il est prévu pour que la victime meure dans d’atroces souffrances. Y avoir recours me sidère. Avouons-le : ces deux années d’esclavage ont fait de moi un ...