Les bûcheronnes
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
Hardcore,
BDSM / Fétichisme
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
Résumé
: quand une promenade solitaire en forêt conduit à la folie furieuse.
Souvent, je pars pour de longues balades dans la forêt qui se trouve près de la maison où je vis avec ma femme et mes deux enfants. Les promenades d’automne sont souvent les plus belles, les plus riches en émotions. Je laisse mon imagination se promener au rythme de la marche et chaque pas dans les feuilles règle mon souffle sur celui de la frondaison humide.
Les jours ont fortement raccourci. Bien sûr, il me faire attention à ne pas l’égarer dans le dédale de sentiers minuscules qui sillonnent les bois, d’autant qu’il m’arrive de m’en écarter pour avancer au travers d’un labyrinthe de feuillages d’halliers, à la poursuite d’un rayon de soleil ou d’un papillon minuscule, en prenant garde à ne pas écraser de fleur rare, ne cueillant rien, ne bouleversant rien de l’équilibre magique de ce coin de nature presque inviolé. Parfois, au loin, j’entends le bruit sourd d’un fusil. Adversaire de toute v******e, je hais les armes, les chasseurs et leur façon de jouer avec la mort d’êtres sensibles pour le plaisir de la viande. Pour cette raison, je suis devenu végétarien.
Soudain, une présence humaine inhabituelle arrête mes pas. Je m’allonge sur le sol et saisis mes jumelles dans mon sac à dos. Je n’en crois pas mes yeux : deux femmes aux torses nus, haches en main, sont en train de couper des arbres. Pas de tronçonneuses thermiques comme en disposent les forestiers, mais bien des instruments ...
... manuels aux longs manches de bois et aux grands fers tranchants. À deux, elles soulèvent d’énormes grumes comme s’il s’agissait de simples planches, et les empilent en pyramides dans une clairière. Parfois, l’une d’entre elles boit quelques gorgées de vin rouge, au goulot, puis baisse son pantalon pour uriner, non pas en s’accroupissant comme le font les femmes, mais debout, cambrée, les bras levés vers le ciel et les seins triomphants, comme pour rendre gloire à une divinité de la nature. Puis elle se remet au travail, silencieuse. Les muscles pectoraux luisent sous la transpiration. Un à un, les troncs basculent sous la cognée. Prudemment, je me rapproche pour mieux les admirer. La nuit va commencer à tomber. Je sais qu’il me faudrait retourner sur mes pas, si j’étais raisonnable, mais ce spectacle m’hypnotise. Tant pis, je reste. De toute manière, elles vont bien finir, elles aussi, par devoir rentrer chez elles.
Voici qu’elles posent leur hache, manifestement satisfaites du labeur accompli durant la journée. Il y a de quoi : elles viennent d’abattre celui de quatre hommes, au moins, sans aucun outillage mécanique. Elles me paraissent superlativement belles. Je me demande quel âge elles peuvent avoir. Elles retirent leur pantalon, et aussi leurs bottes. Elles ne portent pas de culottes. Les voici toutes nues. Sans dire un seul mot, après avoir pissé de nouveau, elles se prennent dans les bras l’une de l’autre et s’embrassent à pleine bouche. Les mains se font promeneuses sur ...