1. Les bûcheronnes


    Datte: 04/09/2020, Catégories: Hardcore, BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... les muscles et les fesses. Le spectacle est magnifique. Je bande dans mon slip à l’intérieur duquel ma main se glisse pour me branler. J’ouvre ma fermeture éclair et entreprends une masturbation rapide.
    
    C’est à ce moment que je commets l’imprudence de trop m’approcher. J’ai dû faire craquer une brindille sans me douter à quel point ces bucheronnes peuvent avoir l’ouïe fine. Me voilà repéré. Sans avoir besoin de se concerter ni me laisser le temps de fuir, elles se précipitent sur moi et me saisissent par les bras.
    
    Avec soin, elles m’attachent à un hêtre avec de la grosse corde qui me scie les poignets et les chevilles. Je ne peux pas du tout bouger. J’envisage de crier au secours, mais je sais qu’à cette heure-ci, alors que le crépuscule arrive, personne ne se trouve aux alentours. J’essaie d’att****r mon téléphone portable dans la poche arrière, mais c’est peine perdue. L’une d’entre elles s’approche avec un couteau dont elle se sert pour déchirer les vêtements. Lorsque le slip cède sous la lame affûtée, je crains qu’elle m’émascule. Elle s’en rend compte et joue avec cette frayeur. Cependant, malgré ma situation délicate, je bande encore. Leur beauté est plus forte que la peur.
    
    Pour la première fois, je les entends discuter entre elles. Elles parlent une langue qui m’est inconnue. Leur débat est animé. Je suppose qu’il s’agit de mon sort. C’est alors que je remarque les fusils posés sur le sol, au milieu des vêtements de chasse tachés de sang. Me croient-elles ...
    ... un chasseur ? Comment les détromper, si elles ne parlent pas ma langue ? Je ne crains pas la mort, mais je ne voudrais pas laisser une veuve éplorée et deux orphelins.
    
    L’une d’elles, la plus grande – même si l’autre me dépasse d’une tête – s’approche de moi et commence à me branler, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Son doigté est fantastique. L’autre bucheronne se caresse en regardant la scène. Elle se fait jouir dans un jet humide qu’elle projette devant elle. Cette vision provoque mon éjaculation, alors que la nuit tombe tout à fait et que la Lune éclaire cette scène qui me semble tellement irréelle que je ne parviens plus à éprouver de la peur : juste de la fascination pour ces femmes au physique fantastique.
    
    Je devrais cependant craindre le pire, car l’autre femme prend le relais pour malaxer mon pénis et obtient une nouvelle giclée de sperme, ce qui devient douloureux. La première revient à la charge. Après la troisième fois, je leur supplie en pleurant de m’achever. Elles rient. J’entends se propager leur rire dans la quasi-obscurité. Cependant, elles semblent accorder ma prière, car elles me détachent. Elles n’ont pas peur que je m’en aille. De toute façon, nu dans la nuit, je ne pourrais pas m’enfuir sans foncer dans un buisson de ronces ou me cogner sur un tronc, encore moins retrouver mon chemin.
    
    L’une d’elles, dont le nom m’a semblé se prononcer « Tah » tandis que l’autre doit être « Gûh », me passe autour du cou un collier métallique qui est ...
«1234...11»