1. Les bûcheronnes


    Datte: 04/09/2020, Catégories: Hardcore, BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... veuille ou non, à toutes les fantaisies de nos propriétaires. Les Amazones, équipées de leurs godes ceintures, prennent la pauvre Lila en sandwich, en double pénétration. La jeune fille se laisse faire et parvient même à la jouissance, pendant que je lui caresse les pieds pour adoucir son sort. Je crois qu’elle est partagée entre l’horreur de sa captivité et la volupté de cette situation qui, en fait, réalise son fantasme d’adolescente. Elle se révèle pleinement bisexuelle, et me surprend parfois à réclamer des gourmandises charnelles à nos maîtresses, surtout lorsqu’elle a ses règles et que les activités hétérosexuelles nous sont interdites. Gûh, particulièrement, aime à sucer la chatte ensanglantée dont elle aspire le suc avec gourmandise, tandis que Tah lui prodigue des blandices mammaires.
    
    Pendant que les Amazones sont parties travailler, Lila et moi effectuons les tâches ménagères, toujours reliés par le cou et une chaine de moins d’un mètre de longueur, ce qui n’est pas pratique. La présence quotidienne de Lila est douce et câline à mes côtés. Un jour, Lila casse un gobelet d’argile par inadvertance. Je m’accuse du crime à sa place, et reçois le soir même le châtiment du fouet. La nuit venue, Lila me remercie en pleurant, et m’ouvre ses cuisses consolatrices.
    
    Au solstice d’été, le ventre de Lila s’arrondit joliment. Les Amazones semblent satisfaites. Elles prennent soin d’elle et la dispensent de travaux ménagers que j’effectue seul. Lila accouche l’hiver ...
    ... suivant. À mon soulagement, malgré une absence totale de médicalisation, tout se passe bien. C’est un garçon. Nous l’appelons Marc. Lila et moi nous occupons de notre enfant comme nous le pouvons. Lila lui donne le sein pendant que je fais le ménage et la vaisselle, en gérant au mieux la longueur de chaine.
    
    Mais dès l’arrivée du printemps suivant, un autre couple d’Amazones vient nous visiter, encore plus massives que celles que nous connaissons déjà. Les deux invitées examinent les dents de Lila, palpent sa musculature, lui tripotent les seins, le ventre, la vulve. Les gros doigts pénètrent le vagin et l’anus avec une évidente délectation. Tah et Gûh vantent leur marchandise. J’évite de regarder la scène pour ne pas ajouter à cette humiliation. Ensuite, je vois une poignée de petits diamants passer de main en main. Marché conclu. Les visiteuses repartent avec Lila enchaînée, et notre fils. Les adieux sont déchirants. Je suis juste autorisé à les embrasser une dernière fois. Je me retrouve seul à nouveau, bouillant de haine envers mes maîtresses. Comme celles-ci se rendent compte que je déprime et qu’elles semblent avoir vraiment besoin de moi pour les tâches ménagères, elles me laissent éjaculer sur leurs pieds aussi souvent que je le souhaite.
    
    Six mois plus tard. L’automne est revenu. Je suis devenu pleinement un habitant de la forêt, dont les odeurs n’ont plus de secret pour moi. Les Amazones m’ont appris à reconnaitre les champignons, à les conserver, à les préparer, à ne ...
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