Les bûcheronnes
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
Hardcore,
BDSM / Fétichisme
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... végétarien, je ne me souviens pas en voir mangé de telle. Puis j’ai compris, avec les ossements des chasseurs et des promeneurs que les Amazones enterrent régulièrement dans des trous, en même temps que les vêtements de leurs victimes. Finalement, j’ai de la chance d’être resté en vie.
L’hiver se déroule ainsi, au chaud dans la tanière. Progressivement, j’apprends à comprendre, puis à parler la langue gutturale de mes geôlières dont les mots, faits de monosyllabes, sont faciles à apprendre pour le linguiste que je suis. Dans ce vocabulaire, je ne m’appelle plus Stéphane, mais Bark – comme tous les esclaves masculins. Peu à peu, j’oublie ma vie d’avant, avec ma femme et mes enfants.
Au printemps, les Amazones ramènent une nouvelle esclave, une jeune fille qui doit avoir autour de dix-huit ans, prénommée Lila. C’est joli, Lila. Cela ressemble à liberté, à fleurs d’avril, à parfum capiteux. Elle sent bon des draps frais, l’herbe mouillée des soirs d’été, le feu de cheminée. Mais elle est aussi captive que moi, et manifestement terrorisée. J’essaie d’être gentil avec elle, de lui parler doucement. Lila n’est pas directement attachée au sol, mais son collier de fer est relié au mien. Elle a été également privée de ses vêtements, ce qui est terrible pour cette personne pudique.
Nos maîtresses nous autorisent à coïter dès que nous avons fini notre travail domestique. Elles y encouragent, même. Comme Lila est très belle, je ne me fais pas prier. Je lui ai d’abord demandé ...
... si elle est d’accord, cependant. Elle a dit « oui » timidement, de la tête. Si elle avait dit « non », j’aurais refusé de la violer, quitte à endurer la torture du fouet. Comme elle est vierge, il me faut d’abord la déflorer, ce à quoi je procède délicatement pour ne pas qu’elle ait mal, dans la position du missionnaire, tout en caressant ses mignons petits seins aux tétons tout pointus qui durcissent au contact de mes doigts. Tah et Gûh nous regardent attentivement. Lila est si effrayée par nos maîtresses que je n’entends jamais le son de sa voix. Alors, je l’imagine chanter dans mes rêves, quand elle dort à côté de moi.
Pendant que les Amazones s’étreignent, Lila et moi leur massons les pieds. Ma compagne d’infortune semble y prendre goût, et m’enseigne des techniques de réflexologie plantaire qui satisfont nos maîtresses. Elle peut même frotter les petons contre sa vulve et se faire jouir ainsi. Mais je n’ai plus le droit d’enduire les orteils de ma semence. Je ne dois pas gaspiller mon sperme, mais seulement le déposer dans le vagin de Lila, peu importe dans quelle position, mais sans en perdre une seule goutte à l’extérieur du ventre. Elle et moi sommes devenus sales et chevelus comme des poilus de la Grande Guerre, mais je crois que je suis tombé amoureux d’elle, si belle et si fragile dans notre captivité commune.
Tah et Gûh prennent aussi du plaisir à faire entrer Lila dans leurs jeux lesbiens. Celle-ci est leur esclave sexuelle et doit se soumettre, qu’elle le ...