1. Les bûcheronnes


    Datte: 04/09/2020, Catégories: Hardcore, BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... Un jour que la libido me travaillait d’une manière insupportable, je suis parvenu à la retirer. Mais, hélas, pas à la remettre en place. Quand elles s’en sont aperçues, elles ont été en colère et j’ai été puni par une atroce séance de flagellation au fouet dont mon dos se souviendra toujours. Plus jamais je ne tenterai de désobéir à mes maîtresses.
    
    Parfois, Gûh aime à me sodomiser avec un gode-ceinture en bois verni, pendant que Tah regarde la scène et se masturbe avec ses deux grands godemichés dont elle se farcit en même temps les deux orifices du bassin. Je dois me tenir à genoux, face contre terre, et présenter ma croupe, les fesses écartées. L’engin dont je suis empalé m’écartèle la rosette et appuie fortement sur la prostate, ce qui provoque à chaque fois une violente érection, alors que je n’ai pas le droit de toucher à mon pénis. Lorsque j’éjacule, mon orgasme est ruiné, ce qui fait beaucoup rire mes maîtresses. Puis Gûh retire sa fausse bite, et elles s’enlacent avec passion, seins contre seins et chatte contre chatte, tandis que je les regarde s’aimer.
    
    Je ne suis autorisé à quitter leur tanière que lorsque je les accompagne, alors qu’elles vont s’entraîner au tir à l’arc. En effet, elles ont besoin de mon aide pour récupérer les flèches qu’elles tirent, pour les remettre dans le carquois. À ce moment-là, j’ai froid, car je reste nu alors que mes maîtresses disposent de vêtements en fourrure. Elles sont extrêmement habiles et tirent sur des troncs situés à ...
    ... deux cents mètres au moins, avec une précision inférieure au centimètre. Une fois, comme elles m’y ont invité, j’ai essayé de bander l’arc de Tah, le plus petit des deux : peine perdue. J’ai failli me tirer une flèche dans le pied. Devant mon manque de force, cet essai infructueux a provoqué leur hilarité.
    
    De retour dans l’abri souterrain, après avoir préparé le repas, je dois me tenir debout, près d’elles, pendant qu’elles mangent comme des ogresses. Ou bien, je dois leur masser les pieds à ce moment-là. Leurs dîners, constitués essentiellement viande crue, sont toujours pantagruéliques. Elles laissent toujours un peu de nourriture pour moi au fond de leur assiette. Une fois qu’elles ont fini, après avoir débarrassé et fait la vaisselle, je peux enfin me nourrir, mais comme un chien, à genoux et les mains liées derrière le dos. Les Amazones ont pris l’habitude de m’humilier ainsi, sans doute afin de me rappeler constamment ma condition d’esclave. Parfois, Tah en profite pour m’enculer par surprise. Lorsque j’éjacule, c’est dans mon assiette, et je dois tout manger pour ne rien gaspiller. Puis, quand elles ont bien bu de l’étrange liqueur qu’elles font fermenter dans une amphore, elles urinent dans ma bouche : je leur sers de WC humain. Lorsque j’y mets de la mauvaise volonté, elles utilisent un ustensile métallique afin de me forcer à garder ma bouche ouverte et accueillir leur pipi.
    
    Leur viande m’a longtemps paru étrange : du temps de ma vie en liberté, avant de devenir ...
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