Excès de vitesse
Datte: 31/08/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
fplusag,
hotel,
fête,
vengeance,
Partouze / Groupe
exercice,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... caresses.
De la robe, il ne reste plus qu’un chiffon autour du ventre. Claude se tortille, mais je sens que c’est pour me soulager de son poids. Ses mains malhabiles cherchent le crochet de ma ceinture, tirent sur le zip pour extraire d’un slip écarté ma queue raide et douloureuse de la trop longue pression.
Par contre, dès que mon membre est à l’air, Claude devient plus efficace, et en deux temps trois mouvements son minou vient m’avaler. C’est chaud et humide. La coquine devait, elle aussi, sentir que notre jeu ne pourrait pas durer éternellement et que ses sens attendaient autre chose que du théâtre.
Pas de doute que la gendarmerie soit une descendante des gardes à cheval d’une autre époque : ma cavalière m’en fait une délicieuse démonstration. Chaque avancée est plus profonde, et ses cuisses s’ouvrent de plus en plus.
Son ex est-il encore là ? Manifestement, Claude s’en moque maintenant, et c’est pour moi une délicieuse récompense. Mais moi, juste pour mon honneur de mâle, j’aimerais savoir.
D’un coup de reins je désarçonne ma cavalière. Je veux voir son corps nu offert à la lune qui se reflète maintenant sur l’eau du lac. Je termine de défaire sa robe. Un poussée, et la voici qui vient se mettre à genoux sur le banc et s’appuyer sur le dossier. Le spectacle est magnifique. La croupe est une invitation, et j’y plonge mon visage. Je déguste son odeur, chatte et cul dans un parfait mélange que j’adore.
Quelle plus belle récompense que de voir sa ...
... maîtresse se tortiller pour vous offrir le meilleur alors que vous léchez sa fente et titillez son petit trou ?
— Viens, viens… me distille une voix rauque.
Je viens. Mon dard s’engouffre. Une seule poussée, et déjà elle jouit. Je ne sais pas si c’est naturel chez elle ou si c’est pour exorciser la présence de son ex, mais j’adore l’entendre le dire.
— Oui… c’est bon… continue…
Il n’est pas nécessaire de m’encourager. Je la baise avec une envie que je n’avais pas ressentie depuis longtemps. J’aime m’agripper à ses hanches et entrer en elle sans retenue. J’ai l’image de la femme gendarme, droite dans ses bottes, mais que je soumets à mon désir.
— Oh… encore… Tu me fais du bien, tu baises bien mieux que mon ex ! Après je te donnerai mon petit trou si tu veux.
Je ne sais pas si l’homme est encore là à nous regarder mais, à cet instant-là, je n’aimerais pas être à se place. Quel pire affront un homme peut-il recevoir que d’être abaissé par une ancienne maîtresse ?
Mais mon propre plaisir monte. Un dernier coup de boutoir et je m’immobilise pour libérer ma semence qui s’est patiemment accumulée depuis nos premières danses d’amoureux déguisés.
Claude gémit lorsque je me déverse en elle. Je me rends compte que ni elle ni moi n’avons pensé à nous protéger. Mais je sais que je suis clean, et je ne vois pas ma lieutenante se donner au premier venu.
Enfin, lentement le plaisir reflue. J’embrasse le dos que je couvre maintenant de mon corps. Elle tourne le visage, et ...