1. Excès de vitesse


    Datte: 31/08/2020, Catégories: fh, fhhh, fplusag, hotel, fête, vengeance, Partouze / Groupe exercice, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... fellation ».
    
    — Une fellation ? Mais…
    — Ne me dites pas que vous ne l’avez jamais fait avec lui ?
    
    Ma remarque doit la vexer, car sans répondre elle s’exécute.
    
    Cela fait un drôle d’effet d’avoir cette femme dont le visage est au niveau de mon sexe, même si la barrière du tissu est bien présente.
    
    — Oh, oui, suce-moi…
    
    M’entendre parler de cette façon lui fait lever les yeux vers moi. Je m’amuse de cette situation et la regardant dans les yeux insiste :
    
    — Chérie, tu pompes divinement. Oui, continue….
    
    J’ai la surprise, agréable, de voir Claude me rendre mon sourire et même de me tirer la langue, comme si elle se moquait de moi. Pendant quelques instants je continue des remarques salaces destinées à son ex, mais aussi à celle qui est à mes pieds.
    
    — Chérie, arrête, je vais jouir. Viens. Viens sur moi… dis-je pour libérer ma « suceuse » de sa position inconfortable.
    
    Elle se lève, monte sur le banc et se place sur moi, face à face. Mais pour ce faire, elle doit tirer sur sa robe pour se donner du mouvement. Aussi, lorsque mes mains cherchent à soulager sa position pour ne pas m’écraser la queue déjà étouffée par le slip et le pantalon, elles découvrent la tiédeur des muscles de ses cuisses. Sans réfléchir, je caresse la peau et remonte vers les hanches. Si le voyeur était vers le lac, il pourrait voir son ex, découverte jusqu’à la taille, les fesses à l’air avec mes mains qui ont décidé de jouer leur partition.
    
    À chaque instant je m’attends à recevoir une ...
    ... claque, ou tout le moins une remontrance et des menaces. Mais rien de vient, et qui ne dit mot consent. La peau est douce, délicieusement tiède. Je sens les muscles des fesses vivre et, mon Dieu, que les hanches sont en rondeur.
    
    — Il est encore là ? je demande à la femme qui me chevauche et qui regarde dans la direction du voyeur.
    — Je ne sais pas, me répond Claude avant de se pencher pour venir m’embrasser.
    
    C’est un appel délicieux. On est loin des premiers baisers de convenance pour les autres. Sa bouche dévore mes lèvres pendant que sa langue pénètre en territoire conquis. Je caresse son corps en essayant de glisser mes mains sous la robe, mais le tissu forme une barrière infranchissable. En bon stratège, je change d’angle d’attaque. La fermeture Éclair qui part du cou pour s’achever au niveau des reins se laisse tirer, au moins sur une bonne partie, jusqu’à ce qu’elle rencontre le tissu remonté et froissé. Mais qu’importe ; c’est bien suffisant pour que les épaules se libèrent et que ma cavalière accepte de laisser passer les manches le long de ses bras.
    
    Le soutien-gorge blanc, frère jumeau de la culotte qui fait une bosse dans ma poche de veste, suit le même chemin. J’ai sous les yeux deux magnifiques lobes dont les mamelons sont des aimants. Je quitte les lèvres humides pour venir sucer les pointes qui m’agaçaient à travers les habits. Je suce, j’aspire, je lape. Mes doigts viennent participer au concert, et j’ai la joie d’entendre ma cavalière gémir sous mes ...
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